Alan Rickman, Sorcier Romantique

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Emmené par un charismatique Bruce Willis et un diabolique Alan Rickman, Die Hard se révèle jouissif à souhait, avec un John McTiernan maîtrisant à merveille sa caméra pour proposer un thriller aussi captivant que sous tension, où les scènes d’actions côtoient un ton décalé et des punchlines de chocs.

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En signant Monsieur Quigley l'Australien, Simon Wincer nous propose une bien sympathique aventure dans les terres désertiques australiennes. Le face en face entre Tom Selleck et Alan Rickman était prometteur, et il ne déçoit pas, jouant tous deux des personnages intéressants et dont les face-à-face valent le détour. Les paysages sont bien exploités, et l'ambiance est prenante, avec une bande-originale adéquate ou encore une mise en scène efficace.

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Alors qu'il a connu un sacré succès en son temps, Robin Hood : Prince of Thieves a bien traversé les années et Kevin Reynolds propose du grand spectacle et une belle aventure captivante qui ne manque pas de morceaux de bravoure, d'humour, d'émotion et de charme.

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Ang Lee propose avec Raison et Sentiments un joli film d'époque, s'appuyant sur des personnages vivants et de passionnantes intrigues, avec une belle reconstitution et de très bons comédiens, à l'image d'une Emma Thompson qui s'occupe aussi de l'écriture ou d'un Alan Rickman d'une grande justesse, véhiculant ses émotions et une forte mélancolie par un simple regard.

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Imparfait, ce petit polar n'en reste pas moins plutôt efficace, assez sympathique à suivre grâce à des personnages intéressants, de bons comédiens (comme toujours Alan Rickman, mais aussi Carla Gugino voire Simon Baker), et quelques aspects assez osés dans le scénario, notamment dans le traitement du personnage féminin.

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Galaxy Quest part d'une excellente idée, où des comédiens d'une série à la Star Trek, vivant de conventions et autres promotions, vont être confrontés à la réalité du show en question. Si c'est légèrement trop long au milieu, ça n'en reste pas moins réussi, grâce à des personnages bien écrits et attachants (d'ailleurs très bien interprétés, Sigourney Weaver, Alan Rickman et Tim Allen en tête), plusieurs bonnes idées que l'on retrouve tout du long du film ou encore un scénario plutôt classique mais efficacement écrit.

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C'est donc avec plaisir et bonheur que je me suis replongé dans l'univers d'Harry Potter, Chris Colmbus retranscrit avec magie, féerie et immersion l'univers créé par J.K. Rowling, celui-ci étant aussi sublimé par une jolie reconstitution et la partition de John Williams, apportant un vrai supplément d'âme à cette ouverture d'une longue et ambitieuse saga.

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C'est toujours un plaisir que de reprendre le Poudlard-Express pour continuer à explorer l'univers de J.K. Rowling qui m'avait tant marqué dans ma tendre enfance. Chris Columbus continu dans la lignée du premier opus et livre un épisode mémorable, où l'ombre de Voldemort plane toujours de plus en plus tandis que nos héros commencent à se rendre compte du danger qui les attend d'ici la fin de leur scolarité.

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Love Actually est une oeuvre poussive, alors certes parfois sympathique, avec de jolies numéros d'acteurs, à commencer par Hugh Grant, Alan Rickman et Colin Firth, mais sans grandes émotions, jamais réellement transcendant et malheureusement oubliable.

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Décidément ce voyage à Poudlard me réserve bien des surprises et ce troisième opus prend un virage plus sombre à l'heure où les héros rentrent dans l'adolescence et que la menace Voldemort se fait de plus en plus présente. Orchestré avec brio par Cuarón qui apporte une touche sombre et angoissante ainsi qu'un vrai savoir-faire, Le Prisonnier d'Azkaban place la barre très haute dans l'univers Harry Potter, plus encore que les deux précédents films de Columbus.

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Opus primordial, le dernier où la magie de la jeunesse est encore présente et Mike Newell s'en sort bien en adaptant le riche tome de J.K. Rowling. La suite sera (censée) plus sombre et les 4 prochains épisodes seront consacrés à la guerre entre le bien et le mal.

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Tom Tykwer prend le risque d'adapter le célèbre roman de Süskind, jugée impossible, et il s'en sort pas trop mal, sachant créer une ambiance assez forte et mystérieuse, tout en s'appuyant sur de bons comédiens. L'aspect formel est intéressant ,tout comme la plongée dans un Paris crasseux et sombre, ce qui ne fait pas non plus totalement oublier les problèmes de rythme.

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Opus primordial, le dernier où la magie de la jeunesse est encore présente et Mike Newell s'en sort bien en adaptant le riche tome de J.K. Rowling. La suite sera (censée) plus sombre et les 4 prochains épisodes seront consacrés à la guerre entre le bien et le mal.

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Sur le papier, tout est réuni pour avoir un grand Tim Burton, à savoir l'histoire, la reconstitution, les personnages ou encore la possible ambiance. Pourtant Sweeney Todd est une déception, notamment à cause d'un manque d'émotion, d'une véritable dimension tragique ou encore de personnages secondaires qui manquent de consistances. C'est dommage car Johnny Depp est habité et génial, et certains points sont quand même réussis...

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Si la magie ne prend pas comme lors des quatre premiers opus, David Yates s'attardant parfois un peu trop sur des éléments superficiels et peinant à retranscrire une ambiance sombre (un filtre ne suffit pas), ce sixième opus reste tout de même efficace à suivre.
Mais c'est tout.

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Tim Burton adapte ici le merveilleux monde de Lewis Caroll et propose une œuvre loufoque et agréable à suivre malgré quelques points un peu décevants. Si c'est dommage que la bouillie numérique ne soit guère au niveau, les personnages et l'aventure le sont, malgré, il est vrai, un léger manque d'émotion et de sensation.

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Après deux opus en demi-teinte, David Yates se montre enfin à la hauteur de l’événement et livre une première partie réussie, permettant d'explorer les relations entre nos trois héros de Gryffondor et de faire ressortir tout un panel d'émotion de son récit.

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Si ce dernier opus ne répond pas forcément à toutes les attentes, surtout à l'heure des ultimes affrontements, il est pourtant bien difficile de ne pas ressentir quelques émotions lorsqu'il faut quitter cet univers et les personnages.

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Plusieurs bonnes idées transpirent de Gambit, que ce soit dans le scénario, les personnages ou quelques séquences, mais malheureusement tout cela n'est jamais vraiment transcendant ni abouti, les bons moments oscillent avec les mauvais, les comédiens, pourtant bons pour ce qui est des hommes, s'enlisent dans des caricatures et peinent à sortir leurs épingles du jeu.

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Alan Rickman rend hommage à l'Histoire de France et surtout son art et sa beauté, par le prisme des jardins de Versailles, et se lance dans la mise en scène des créations de ceux-ci. Le projet est intéressant, et on peut apprécier les décors, costumes et la plongée dans cet univers, mais c'est assez insuffisant, il peine à créer une vraie ambiance prenante et des enjeux forts (il axe beaucoup sur une romance qui n'est guère passionnante), ne permettant pas à Les Jardins du Roi de n'être rien de plus qu'une jolie suite de tableaux, beau mais vain.

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Si cette suite est intéressante sur le papier grâce à l'intrusion du temps, elle n'en reste pas moins décevante par son manque d'ambiance, ainsi qu'un abus combiné à une mauvaise utilisation des effets spéciaux, ce qui n'aide pas pour s'y immerger. Heureusement que les personnages restent intéressants et qu'il y a toujours un peu de savoir-faire derrière la caméra.

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En signant Eye in the Sky, Gavin Hood nous entraîne dans les sphères dirigeantes de l'armée, pour y suivre une opération à haut risque pouvant entraîner la mort de civil. Il met en scène ce que représente les prises de décisions, les oppositions et qui dirige vraiment, ainsi que l'aspect humain qui peut s'en dégager. Jamais transcendant ou mémorable (la faute notamment à une dramatisation guère maîtrisée), ça n'en reste pas moins plutôt efficace et bien mené, avec de bons comédiens jouant des personnages consistants.