Périple BDesque en 2017

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Énième histoire ricaine de gangsters super clicheton...

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3/12

Le juge Legentil, quel magnifique personnage!
Et puis, toutes ces scènes qui font écho aux terribles flashforwards du tome 1 foutent des frissons.

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29/10

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Un univers plus consistant, des décors plus inspirés et un mode de narration plus pertinent: c'est déjà bien plus lisible que l'indigeste tome 1.
Sinon, le propos philosophique prend trop le pas sur l'histoire, avec des allégories un peu lourdingues notamment. C'est trop voyant et ça m'agace légèrement...

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15/10

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8/10

Rien compris.

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1/10

Blablablablabla...
Une purge tarantinesque qui fatigue au bout de 5 pages avec des bulles de dialogues (insipides) qui remplissent quasi les cases.

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Ça fait longtemps que j'avais plus apprécié un univers graphique aussi fort!
Pour des habitués de fictions sur la prison comme moi, c'est assez classique même si les dialogues sont très bien écrites.

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24/09

J'ai pas souri une seule fois à cet humour qui se veut noir. C'est très, très sage en fin de compte...

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Bwarf, ce Fabien Nury est un génie décidément (je compte me faire un cycle de ce gars, il est trop fort) et sa collaboration avec Sylvain Vallée fait encore des étincelles après ma lecture de Katunga.
Le duo assume complètement son titre: La WW2 n'est qu'un contexte pour surtout raconter l'histoire bigger than life de Joseph Joanovici, cet anti-héros éminemment complexe. D'ailleurs, les personnages secondaires ne dépareillent pas, ils sont tous excellemment bien écrits et existent vraiment.
Et la gestion de la narration non-linéaire est ébouriffante, tout comme les transitions ingénieuses qui la ponctuent!
Alors que Katanga alliait le thriller politique avec le récit d'aventures, Il était une fois... marie merveilleusement fresque historique avec polar.
Je me suis mangé les 2 premiers tomes en aller-retour en train, je cours de ce pas louer le reste de la saga! <3

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30/07

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9/07

On est dans du polar très réaliste semble-t-il, plus à décrire le quotidien antispectaculaire des flics qu'à se pencher sur les enquêtes qui sont reléguées aux second plan...c'est cool, sans être non plus super passionnant hein.
Sinon, l'avant propos du Charlie-compatible Joan Sfarr, Israel et ses services secrets sensationnels, le Hezbollah encore pire que Al Quaida...pfffff, la BD pue un peu idéologiquement parlant!

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2/07

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2/07

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Qu'est ce que c'est vieillot et enfantin!
J'espère que Besson, avec son adaptation ciné, va moderniser comme il faut ce truc car le postulat est plutôt sympathique.

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De la comédie absurde de haute volée et pas si vide de sens que ça ni si éloigné de notre société! Le dessin assez réaliste et sérieux accentue d'autant plus l'hilarité du truc car il tranche radicalement avec l'ineptie des situations!

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Joli éventail de portraits de femmes ayant, chacune de leur manière et à leur niveau, bouclé le patriarcat et le sexisme en vigueur à leur époque, dans leur région, ou dans leur culture (car il y a une réelle diversité dans le choix des femmes que Baguieu mets en avant). A signaler qu'il y a une très belle illustration en double page qui clôt super bien chaque portrait!

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25/06

Haha, évidemment, c'est puant comme pas permis mais le personnage De Lesquen et tout l'univers trollesque créé autour de lui sur les réseaux sociaux, ça me fait rire...jusqu'à le dériver en BD quoi! :p

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21/05

En plus d'être super prenant et ayant comme magnifique cadre de Vienne du début du 20ème (ses bordels, la haute aristocratie, les bidonvilles etc...), les 2 premiers tomes dévellopaient toute une réflexion intéressante sur cette fascination/répulsion entre les bourgeois et les pauvres, le déterminisme social et toute ce que pouvait créer comme cynisme cette lutte de classes plus insidieuse qu'il n'y parait...Puis toute cette magie vole en éclats au tome 3, avec cette idée complotiste complètement hors propos sorti de nulle part. Un peu du gâchis ce virage!

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14/05

Moarf...Sinon, déception globale de l'anthologie "La Casse". Genre de sujet qui est vraiment dommage de gâcher à ce point!

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2/04