Omar Rodriguez-Lopez sort 24 albums en un an et vu que je suis aussi fou que lui, j'écoute tout. YOLO (en cours)

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Le disque démarre bien avec des premiers titres convaincants mais la production atypique et les arrangements vocaux ne me séduisent pas vraiment et je termine l'album un peu lassé. Pas mal quand même.

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Deuxième disque très solide avec des vraies réussites de songwriting comme Lola et surtout les deux derniers titres Five different pieces et If I told you the truth I would be made of lies.
L'album est très homogène, je reste à 7 plutôt que 8 car il me manque la petite folie guitaristique qui me fait craquer chez Omar.

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Un troisième disque assez curieux, d'abord très convenu puis qui part totalement en live avec les quatre dernières pistes qui ne font qu'une. Une highlight absolue de la série.
A noter la reprise d'Ellie Goulding sortie de nulle part...

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Le meilleur jusqu'ici pour moi et de loin (après avoir écouté 10 albums).
On est pile dans ce que j'aime chez Omar, des compos barrées avec des mélodies de guitare semi-orientales qui partent en couille, en premier lieu sur Primitivo y barbaro/Semillas de hez. Puisque rien n'est dû au hasard, Frusciante himself pose sur ces tracks. CQFD.

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Album assez solide dans l'ensemble mais un rien anecdotique surtout comparé aux deux d'avant. Il s'écoute bien en entier mais manque de titres fanions. Par contre j'adore la prod, hyper couillue avec pas mal de drums hard left et voix hard right, c'est très rare et ça fonctionne très bien.

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Alors là bof bof... Absolument pas touché par l'album. Pas grand chose à dire dessus, c'est moins aventureux que sur les précédents et vu que je parle pas espagnol il me reste pas grand chose... Dans le doute un vieux 5 tiède.

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Ah celui là j'ai vraiment kiffé, peut-être mon préféré après Arañas. Une guitare clean folle tout le long de l'album qui s'avale d'un trait, 9 titres bien digestes. Amarillo est l'une de mes chansons préférées pour l'instant. J'aime bien cette approche quasi conceptuelle, avec des titres qui se font écho, par exemple Wolf/Kisses are fishes ; un truc qu'Omar aime bien faire visiblement.

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Oulah.
La drogue c'est mal Omar.

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Une ambiance un peu plus électro, des titres qui marchent bien comme Rotten straw lips et A little picnic in Fort Collins. L'album est juste un peu long et je me perds un peu en route.

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Le disque me met presque mal à l'aise, c'est pour ça que je reste à 6 plutôt que 7, j'ai peu de plaisir à le réécouter. Mais je crois que c'était le but d'Omar avec Zapopan, dont bien joué c'est réussi...

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Ca commence à devenir vraiment brouillon, j'ai du mal à dégager des titres de ce fouillis. On est sur des sonorités plus proches de Sworn virgins, en moins intéressant niveau compos.

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Ca part un peu en couille...

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Ca commence vraiment à perdre de l'intérêt :/

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Ouf ! Reprise en beauté avec un album très homogène, le meilleur depuis Corazones dont il reprend un peu le ton. Pas de titre étendard (ils commencent à manquer dans cette série d'ailleurs) mais pas de réelle faiblesse non plus, et on retrouve un album agréable à écouter pour peu qu'on rentre dans l'univers très personnel d'Omar. Vite la suite !

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Loin d'être mauvais mais il se noie un peu dans la masse d'albums, ce qui était à prévoir... Je commence à avoir besoin de titres marquants pour conserver de l'intérêt pour cette série.

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Album live de bonne qualité, qui reprend des titres de Zapopan (et d'autres de ORL que je ne connaissais pas) donc ambiance assez étouffante. C'est bien claqué, juste pas ce que je préfère chez Omar.

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Franchement c'est de bonne facture, notamment le début de l'album qui apporte un gros vent de fraîcheur avec beaucoup de headroom, un piano très aéré.
Maintenant on va pas se mentir : y a pas vraiment de coup de coeur sur ce disque, encore une fois malheureusement. On en est au 17e album de cette série de taré, et il va me falloir des tracks bien plus béton que celles là pour allonger les bonnes notes.
Sans doute un de mes préférés de la série en définitive, mais à l'échelle de tout ce que j'écoute ça reste un kiff moyen.

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Je réclamais des titres qui restent en tête, eh bien je suis servi avec cette belle deuxième moitié d'album : Marcel, Merit, Diente Azul... Omar ose quelques riffs presque QOTSA-like sur des rythmes assez upbeat : ça fonctionne. Un bon 7 d'encouragements !

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Elle reprend un beau virage cette série ! Un ou deux morceaux dispensables mais l'album est vraiment solide, une ambiance qui rappelle Sepulcros de miel et des titres comme Interceptions qui font mouche.

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C'est vraiment pas mal depuis 3 albums là ! Celui-là est très homogène, j'aime beaucoup les guitares, et on a des petits moments assez surprenants comme la fin de Love light... Sûrement un des meilleurs depuis le début, il est bon de A à Z.

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Arf un coup de moins bien, un album dispensable. On retombe dans les "travers" de cette série, prod fatigante, voix lassante, pas de titres marquants. Pas mauvais pour autant (la 2e moitié est pas mal), juste anecdotique.

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On en est à 22 albums et Omar décide de s'en battre entièrement les couilles et de claquer un quatuor à cordes. Musique d'orchestre style BO de Miyazaki, parce que pourquoi pas, je sais tout faire, balek total.
Moi qui me plaignais des disques un peu dispensables qui n'apportaient rien je suis obligé de saluer l'effort. Après on va pas se mentir c'est pas le disque de l'année non plus, j'ai pas été transporté dans une autre galaxie, mais c'est sympatoche et franchement pas facile donc bravo.
Plus que deux !

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Ben putain 2 mois sans album, je l'avais presque oublié le zozo... Et c'était franchement pas la peine de revenir pour ça.