Ces séries qui s'achèvent en plein milieu de l'histoire... mais qu'on publie quand même.

Annotation :

Excellente série qui se conclue sur... le départ des personnages vers le lieu de l'action principale après 7 volumes de ce qui semble une préparation minutieuse pour ce moment narratif très précis, clef de voûte de toute la tension de l'histoire. Dommage. C'est toutefois la seule série que je conseille quand même activement dans cette liste.

Annotation :

Deux volumes. Le personnage principal se prépare à partir dans la quête de sa vie. les enjeux sont énormes, les mystères distillés avec soin et... pouf. La série se termine alors que le type se met en branle. Merci.
Les mots exact de fin: "Je me demande quel genre de rencontres je vais faire... Hé!Hé!Hé! C'est excitant, et ça ne fait que commencer!"

Annotation :

A confirmer mais l'éditeur indique "série terminée en 2 volumes" sur les 4e de couverture. Le seul soucis: le second volume se termine au milieu de l'intrigue. En plein milieu. Le méchant et son complot vont bon train, la nemesis du personnage principal a effectué la moitié du boulot pour détruire le monde (globalement). Sur une superbe succession de cases noires et de textes transitifs la série s’arrête.

Annotation :

Un gros dommage pour cette histoire drôle et dynamique. Un unique volume. Beau manque de succès nippon? En fait l'auteur a abandonné de lui même par manque de soutien. Du coup, rien de bien intéressant pour un one shot et une belle mise en place scénaristique inutile pour quelque chose qui aurait dû continuer. Quelle que soit notre façon d'aborder ce tome, c'est frustrant.
C'est d'autant plus dommage que l'histoire est prometteuse et que le personnage principal est un godemiché anthropomorphe.

L'histoire se conclue sur "Il y a peut être des princes charmants. Peut être".
Je crois me souvenir qu'elle parle de son godemiché et qu'ils viennent de poutrer quelques types d'une organisation qui n'a pas arrêté de teaser sur ses projets machiaveliques.

Annotation :

15 volumes pour quelque chose d'assimilable à une pré-quelle... L'auteur ne conclu rien, laisse les problématiques fondatrices de l'histoire de coté et promet une soit disant saison 2... Qui y a cru?

Annotation :

Le type ne finit jamais ses séries. C’était bien la peine de la publier en france?

L'histoire est en stand-bye sur: "-Tu as vu? Ayato joue contre la reine du karuta. -EN!"

Annotation :

Ho, c'est dommage, M. GTO. Personne n'aime ce que vous faites en dehors de votre série phare. En même temps, c'est normal vu le contenu. Toujours est il que Tokko n'a pas de conclusion mais que capitaliser sur un auteur qui a fait une série à succès, ça vaut quelques entorses à la moralité.

Annotation :

C'est de la mauvaise fois mais je l'ajoute quand même. Mauvaise fois car la série s'arrête brusquement, faute de succès, au 32e volume. On imagine bien que, l'édition française ayant commencée en cours de publication, personne ne pouvait deviner ce revirement. Sauf l'éditeur japonais. Monstre infâme qui a attendu 32 volumes pour décréter le manque de succès. Qui a obligé l'auteur à conclure sa série en 1 chapitre, après 32 volumes, alors que la conclusion aurait pu arriver naturellement quelques volumes plus loin. Voila le point sensible. Pas de fin, au bout de 32 volumes! Je me revois adolescent, guettant mes futurs tomes de Shaman King. Je me revois comprendre que l'excitation des dernières années allait se transformer en rage sourde et en incompréhension durable. Je me souviens de cette amputation psychique.

Annotation :

4 volumes, le temps que tous les personnages se rencontrent un peu. Et quand ils s'y mettent, pfuittt! On ferme!
La série se conclue quand même sur: "En route pour l'endroit qui verra ce voyage se terminer"!
Mais vous n'êtes pas invités, hahaha!

Annotation :

Le type se frite avec un peu tout le monde et continue sa galère comme si de rien était. Le postulat de base l'obligeait à tuer 108 démons en 108 jours. A la fin de la série, il en a tué une poignée, il lui reste quelques jours, il est dans la mélasse mais tant pis, nous ne saurons pas.