2024, les films vus, pas sur grand écran

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Une comédie sympa et parfois plutôt poétique avec le personnage de Richard.

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La mise en scène est pas incroyable, la narration manque de rythme, la musique pas très inspirée. L'histoire est pas ouf. Y'a quelques plans intéressants.

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Un film touchant, tendre, drôle, pas manichéen. De très belles prestations des acteurices. Mention spéciale aux scènes finales très touchantes, que ce soit les liens amicaux tissé ou la déclaration d'amour du père à sa femme.

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C'est plutôt bien mis en scène, cependant les personnages sont trop peu caractérisé·e·s, où quand il le sont un peu c'est pour les rendre agaçant, donc on se fout un peu de ce qui va leur arriver, voir on souhaite qu'iels soient les premiers touché·e·s lorsque ce sont des personnes se moquant bêtement des croyances des autres. Et puis les personnages acculées par un démon qui pensent au geste barrière ou à bien prendre la caméra (téléphone) pour cadrer comme il faut (enfin à l'horizontale, pourtant avec un téléphone), c'est un peu tiré par les cheveux.

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Film sympa qui essaie de retranscrire l'acte de création musicale tout en mettant en image l'arrivée du son électronique fait par des machines fin des 70s.

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Toujours agréable à regarder les histoires un peu loufoques de Peretjatko. Humour décalé, second degré social. Et la narration est sympa aussi, elle sort de l'ordinaire/classique linéaire.

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C'est si long, d'au moins une heure, tout ça pour ne même pas avoir la fin d'un arc narratif. La promesse d'avoir une début et une fin lorsqu'on va au cinéma n'ets pas respecté, ici il s'agit d'un film d'introduction à un univers et des intrigues. Beaucoup trop d'utilisation de champ / contre champ de "dialogues par le regard" plutôt inexpressifs. L'utilisation des rêves du héros pour nous indiquer la suite du récit est une facilité d'écriture mal venue. Bref il y a une lourdeur énorme dans le récit qui se traîne en longueur, pour finir littéralement par "c'est que le début"... ba non là pour moi c'est le fin du film. Le récit porte beaucoup de ressemblance avec les Stars Wars, alors j'imagine que probablement en premier lieu Georges Lucas c'est inspiré en partie du roman de Frank Herbert, pourtant au spectateur de cinéma, l’œuvre qui préexiste au film en question ce sont les films de la franchise Star Wars, et il me semblait possible de respecter la trame de l'histoire originale sans pour autant faire autant écho aux films de Lucas.
Les décors intérieurs sont d'une pauvreté surprenante, comme lorsqu'il y a cette scène de la mère de Paul qui entre dans une pièce pour échanger avec le père qui est visiblement en train de se rhabiller, mais aucun mobilier n'est présent, venait-il de prendre une douche, de faire du sport, de se réveiller... Ce vide est accentué par l'immensité des pièces en intérieur. Et puis que dire de ces gens qui se battent constamment au corps à corps avec des sabres et épées, entraînant des pertes énormes, alors qu'ils disposent de technologies de tourelles de défenses, de missiles, de canon automatiques sur les hélico/libellules, de fusils laser qui découpent même la roche... y'a même pas d'archers, c'est absolument illogique dans ce monde où l'accaparement de l'épices semble être l’enjeu principal des relation géostratégiques/géopolitiques.

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Bien rythmé, le thème musical est toujours aussi cool, le "social engineering" de Foley/Eddie Murphy est agréable, les scènes d'actions sont cool, quelques problèmes d'écriture un peu facile/peu inspirées, ou de faux raccords, sexisme de bas étage, mais toujours ce côté "doudou" pour moi.

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Toujours un plaisir, la construction du film est toujours aussi bonne avec ce contraste entre le Detroit populo, divers et ouvrier et le Beverly Hills riche, blanc et m'as tu vu. La construction de la relation entre Axel, Billy et Tagart est chouette, le "social engineering" de Foley/Eddie Murphy, masterclass. La bande son autre que le thème super connu est vraiment parfaite pour l'époque et l'ambiance.

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Je ne sais pas si les manques se situent à la réalisation, à l'écriture, au montage ou à la mise en scène, probablement un peu tout à la fois, mais le déroulé de l'histoire ne fonctionne pas très bien, les scènes s'enchaînent sans trop de lien parfois, ou alors il nous manque des toutes petites clés de compréhension pour lier une scène avec une autre. Au delà de ces manques, l'écriture est convenue, basé sur des clichés éculés, les relations entre les personnages sont survolées et bâclées (particulièrement entre enseignants et élèves), la faute à un trop grand nombre de second rôles et sous-intrigues inutiles, mal ou trop exploitées. La direction d'acteurs semble minimale, il n'y a que Bérengère Krief qui "s'en sort", le reste semble avoir été laissé en autonomie, mention spéciale à l'interprétation vide de Grégory Fitoussi.
Et puis les vannes du genre "lol on voit sa culotte, la honte, mais on dit rien parce qu'on est des mecs et que les mecs ça regarde le cul des femmes"... pitié c'est plus à faire.

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Que ce soit en terme de réalisation, de mise en scène ou de scénario, rien de bien original mais tout fonctionne plutôt bien, sans perte de rythme ou longueur. Les acteurices sont investit et jouent plutôt bien leur rôle (notamment le duo de frères), et Marilou Berry à dû prendre un plaisir certains à se mettre en scène de telle manière après avoir lutté à s'en rendre malade pour rentrer dans les stéréotypes de genre d'une actrice de son âge, elle maitrise ici parfaitement son perso. Je comprends pas les notes moyennes de ce film, sauf à ce que les gens l'ai regardé avec des yeux d'adultes sérieux et vide de fun attendant une comédie / polar (dixit Première) là où il s'agit simplement d'une comédie familiale qui nécessite de faire appel à son âme d'enfant.

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Une comédie romantique plutôt classique qui coche tous les clichés plutôt habituels. Y'a bien que la relation entre Joséphine et son ex amant Julien qui sort un peu des sentiers habituels.

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Une suite bien moins inspirée, la réal et mise en scène plutôt okay. La scène avec sous-titres est plutôt bien sentie. Des problèmes d'écriture, on se demande si y'avait pas assez à raconter et on rajoute donc cette romance entre Sophie et le gynéco qui n'apporte rien, à part la scène sus-mentionnée (mais ça ne nécessitait pas tout ça auparavant). Ça tire en longueur, et ressemble plus à un enchainement de gags/situations comiques mal liées qu'autre chose.

Sinon un blackface... da fuck ?

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Une belle histoire en trois actes, le récit est bien ficelé et alterne entre cringe, comédie et "drame". Philippe Rebbot, toujours un plaisir.

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Difficile d'avoir des parents égocentrique... un casting au top, sacré interprétation de Marilou Berry lorsqu'elle chante à la fin.

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Au début le film est un peu difficile, un peu étouffant, puis arrive Sofie, on respire, c'est un peu plus léger, agréable, on s'attache enfin à Vincent, puis après c’est la déchéance.