2023 : Bienvenue dans le Monde d'après Avatar 2

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Quoi de mieux pour commencer cette nouvelle année de cinéma, qu'un petit visionnage en famille de la meilleure comédie française de l'année dernière ? C'est juste, c'est frais, c'est touchant, tous les ingrédients sont réunis pour passer un chouette moment ! A la limite, je retirerais de ce revisionnage une écriture qui peut sembler un peu automatique. Pas forcément au niveau des dialogues, mais d'avantage des scènes et interractions entre les personnages. Après, ça ne retire strictement rien au plaisir passé devant !

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De bonnes idées en terme d'histoire, mais qui ne sont pas aidées par une mise en scène et un montage majoritairement vraiment pas fameux. C'est aussi ce genre de film qui donne l'impression d'avoir été intégralement pensé et spéculé autour d'un plan, d'une image. Celle de ce fauteuil au milieu du couloir délabré, éclairé par un rayon de soleil à travers le cadre d'une porte. Le plan est mortel, mais sa récurrence et sa singularité donnent vraiment l'impression qu'il est la seule raison de l'existence du film, et que tout le reste aurait été brodé autour histoire de pouvoir vendre le bouzin... Bref, pas ouf, malgré ce plan, et malgré, une fois encore, de bonnes idées en terme d'histoire.

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Derrière son univers esthétique coloré et pop, Unicorn Wars, comme Psiconautas avant lui, propose un récit jusqu'auboutiste d'une noirceur assez rare aujourd'hui, et qui fait franchement plaisir. Le tout est servi par une animation qui fait clairement mouche, et qui varie bien ses designs et modes de rendus, rendant le film vraiment très attrayant à regarder. Bon c'est clairement à réserver aux amateurs de bons gros délires bien trashs, mais néanmoins à voir, et à soutenir.

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Bon, c'est pas compliqué, ce Avatar 2 est bien parti pour devenir un de mes films préférés ever. J'attends le visionnage du blu-ray pour l'acter, mais j'ai très peu de doute sur la finalité. j'attends aussi la version longue (stp James)

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Récit pas palpitant, personnages tous plus archétypaux et grossiers (dans le sens que c'est dépourvu de la moindre finesse) les uns que les autres, univers narratif et esthétique proprement inintéressant, et manque total du souffle d'aventure promis par l'affiche, en ce qui me concerne, ce Avalonia c'est ni fait ni à faire

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Bon, eh bien à peine commencée 2023 nous balance une putain de bombe atomique en salle... La dernière fois c'était en 2020 avec 1917, et on sait ce que cette année est devenue, donc je croise les doigts que l'histoire ne se répète pas... En tout cas, oui, Babylon est une putain de tuerie, et il faut absolument aller le voir !

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A voir pour les scènes de tension extrêmement efficaces, et qui rattrapent sans problème tout le reste du film qui vole clairement pas haut, mais qui au moins, n'en a pas la prétention.

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Vu que je suis un peu le cul entre deux chaises avec ce Baise moi, je reprendrai les mots d'un pote qui a clairement bien résumé la situation. Ca brille clairement pas par ses qualités artistiques ou esthétiques, mais y a une énergie, et une rage communicatives qui se dégagent de tout ça. C'est terriblement décousu et globalement mal branlé (à première vue en tout cas), mais pour peu qu'on accepte de lâcher prise, on se retrouve embarqué dans un espèce de ride hyper pêchu qui s'arrête jamais

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Assez déçu pour le coup, c'est peut-être parce que j'étais claqué pendant la projo, mais je suis vraiment pas du tout rentré dedans. En soi le concept est cool, et le casting est au top avec un duo d'acteurs qui suinte le charisme par tous les pores, mais je sais pas, y a vraiment quelque chose qui m'a gêné dans la mise en scène. Je pourrais dire que ça en fait trop alors que le récit est vraiment terre à terre, y a comme une dissonance entre le récit, la narration et la mise en image. Après c'est peut-être juste aussi que j'ai du mal avec les films de "gangster"... Ca et la fatigue sûrement

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Sah quel plaisir ! Ca faisait un moment que j'avais pas eu un tel kif au ciné, un réel plaisir régessif et parfaitement primaire, et wow qu'est-ce que c'était bon ! C'est clairement un délire, mais si on est dedans, c'est juste la folie pendant un peu moins de deux heures, et clairement, c'était fou !

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Je sais pas si c'est le fait d'avoir maté des films complètement tarés pendant une semaine qui m'a rendu (momentanément ?) imperméable à ce genre de production, mais vraiment, le film a complètement glissé sur moi. C'est tellement clean, c'est tellement lisse, et tellement aseptisé, que vraiment je n'ai eu aucune accroche sur ce Black Panther 2 durant les presque trois heures qu'il a duré. Y a rien qui dépasse, aucune aspérité, aucun caractère, rien. Et là je parle même pas de ce que je perçois clairement comme de l'opportunisme mal placé (on surfe sur l'impact du décès de Chadwick Boseman, ainsi que sur le début de Hype autour d'Avatar 2, avec ce peuple de l'eau à la peau bleue, qui refuse que l'Homme blanc s'empare de son précieux métal). Bref, en ce qui me concerne, c'est ni fait ni à faire, mais comme je l'évoque au début du paragraphe, c'est pas exclu que j'ai simplement vu le film à un moment où j'étais pas disposé, comme pour Black Adam, qui n'était probablement pas aussi daubé que je ne veux bien m'en rappeler...

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Beaucoup trop long pour son propre bien, Terrifier 2 se sent obligé d'essayer de raconter quelque chose, et c'est clairement là que ça pêche. Non pas qu'il y avait rien à faire, mais ça aurait clairement mérité d'aller droit au but, tant dans sa narration que dans son rythme. Et d'avoir une écriture un peu plus fine aussi, parce que là, on a bien du mal à s'investir un temps soit peu dans ces personnages que le film nous impose, alors que globalement on est juste venu voir des gens se faire scier en deux. En gros y a une réelle dissonance entre les scènes intimes d'une qualité toute relatives, et les excès de violence réjouissants. L'explosion est bien là, mais c'est un peu plus laborieux que prévu quoi. Après, ça reste un film d'horreur fauché, sincère et généreux, seyant parfaitement à une soirée films gores entre potes avec de la pizza et de la bière.