- 2021 -

Annotation :

Revu - 01.01.2021

Note inchangée.

Annotation :

Vu - sur Amazon Prime Video - 01.01.2021

Si l'Idée de départ était intéressante - un ancien militaire assassiné devient un surhomme invulnérable grâce à la technologie révolutionnaire d'un ingénieur désireux de faire le "bien" se reconverti en tueur à gages après avoir recouvert partiellement sa mémoire pour venger celle qu'il aime à moins qu’il ne soit la marionnette du cyber-docteur dont les intentions ne semblent pas très nettes... - le traitement est lui beaucoup moins séduisant tant la débauche d'effets spéciaux est criante rendant au film un aspect "jeu vidéo" dérangeant.
On ne retiendra pas grand-chose de ce "Bloodshot", qui se voulait potentiellement une nouvelle franchise pour Vin Diesel, sinon une ou deux séquences spectaculaires, dont la bagarre finale en chute libre sur un ascenseur extérieur et l'excellente utilisation du titre "Psycho Killer" de l'excellent groupe de rock des années 70/80 Talking Heads.

Annotation :

Vu - 02.01.2021

Loin de l'originalité du premier volet "Paddington 2" reste un bon cru "so british" avec le retour de la famille parfaite "les Brown" - Sally Hawkins, Hugh Bonneville, Julie Walters et les enfants - ainsi que le reste de la fine fleur du cinéma britannique avec en tête Hugh Grant et le peu du reste de son charme so 90', Brendan Gleeson (toujours aussi irréprochable), Jim Broadbent, Peter Capaldi ou encore Ben Miller... Tout ce beau monde s'en donne a cœur joie mais risque de laisser et laçer les cinéphiles les plus exigeant... Pur produit british "Paddington 2" est avant-tout à conseiller/réserver à un public familial en quête de bons sentiments au coin du feu, tasse de chocolat chaud à la main et marshmallow en accompagnement... Jusqu'à overdose ?

Annotation :

Revu - 02.01.2021

Annotation :

Vu - sur Netflix - 02.01.2021

Un bon gros WTF mi western mi wu xia pian à la sauce Tarantino (d'ailleurs producteur du film...) où dans une Chine féodale d'un autre âge un forgeron noir, ex-esclave en Amérique, fournit des armes à un petit village prénommé Jungle Village se retrouve obligé de se défendre et de faire équipe avec deux "justiciers", l'enfant du pays Rick Yune (l'antagoniste nord-coréen dans "Meurs un autre jour") et un mystérieux émissaire du gouvernement chinois incarné par Russell Crowe, après que le chef d'une tribu locale lui est coupé les deux bras en guise de représailles à sa contribution à l'armement d'un rival... Mélange des genres mêlant combats aux sabres et histoire d'amour au sein d'une maison close, RZA tient dans "L'Homme aux poings de fer" tous les rôles (réalisateur, scénariste, chef compositeur, acteur principal...) jusqu'à overdose dans un casting complétement WTF composé pêle-mêle de bon vieux briscard du cinéma hollywoodien (Russell Crowe, Dave Bautista ou encore Pam Grier), des têtes connues du cinéma asiatique comme Lucy Liu, Rick Yune et Daniel Wu et des jeunes pousses comme Jamie Chung (Very Bad Trip 2/3 ou la série Gotham)... L'ensemble est particulièrement foutraque alternant le bon (les scènes de combat notamment celle dans la maison close avec les veuves noires) et le moins bon - principalement les dialogues très/trop caricaturaux - pour convaincre totalement mais les amateurs de films de genre et adepte d'un puissant second degré pourraient bien apprécié le résultat...

Annotation :

Revu - 03.01.2021

Annotation :

Vu - 03.01.2021

Ava DuVernay signe avec "Un raccourci dans le temps" une adaptation ambitieuse mais non aboutie du roman éponyme des années 60 de Madeleine l'Engle. Car si esthétiquement l'ensemble est plus que réussi - grâce a des effets spéciaux et des décors de haute tenue - et que l'aura qui émane du film est particulièrement positive le tout véhiculant un beau message sur l'acceptation de soi et sur la mixité des êtres dans le monde, on regrettera cependant d'importantes longueurs ainsi qu'une probable trop forte ambition de ton pour une fantasy-aventure familiale marketé par Disney et un casting mi-figue mi-raisin car si les trois êtres surnaturels que sont Oprah Winfrey, Reese Witherspoon et Mindy Kaling est plutôt bien casté ainsi que la participation quasi anecdotique de Chris Pine en scientifique/père de famille disparu - on notera un bémol sur la couleur rousse de la belle Reese absolument incompréhensible - la jeune Storm Reid dans le rôle de Meg Murry manque elle d'envergure et d'expérience dans ce rôle de tout premier plan... Proche du 5 je note avec attention la belle décision de l'empire Disney d'enfin accorder la réalisation d'une de ses oeuvres mastodonte à la réalisatrice noire qu'est Ava DuVernay ! Il est même d'ailleurs le premier film en prise de vues réelles de l'histoire du cinéma à être réalisé par une femme noire avec un budget de plus de 100 millions de dollars1. Pour cela un +1 mérité...

Annotation :

Vu - 04.01.2021

Belle surprise que ce "DTV" judiciaire, un peu tiré par les cheveux il faut le reconnaitre, mais qui tiendra en haleine les plus férus du genre... Le trio principal Douglas/Metcalfe/Tamblyn est plus que convaincant. Mais on retiendra surtout la partition d'Amber Tamblyn impériale et percutante en assistante du procureur en plein doute qui va tout tenter pour faire sortir de prison son compagnon journaliste Jesse Metcalfe ("Mister Jardinage" dans la série Desperate Housewife) injustement incarcéré dans le cadre d'un procès pour meurtre d'une prostituée junkie après avoir voulu faire tomber le procureur en place - un Michael Douglas retors - pour ses méthodes mafieuses et illégales pour gagner de nombreux procès et ainsi s'engouffrer dans l'arène politique afin de devenir gouverneur de la Louisiane...


1er film de mon année consacrée à Michael Douglas

Annotation :

Vu - 05.01.2021

Sombre et poisseux à souhait avec ce "MR 73" Olivier Marchal signe jusqu'ici pour moi et ma collection Marchal son meilleur thriller "à la française".
Olivier Marchal transporte pour son troisième film - trilogie policière débuté avec "Gangster" puis le second volet "36 quai des Orfèvres" déjà avec Daniel Auteuil - son public dans l'envers du décor de la police marseillaise, de ses policiers véreux, de ses meurtres sordides commis par un probable serial killer et de son ancien "super-flic" en pleine débâcle dévasté par l'accident et le coma de sa femme...

Annotation :

Vu - 06.01.2021

Pour le dernier film de Noël de la période (Noël 2020-2021) une bien belle découverte à la fois romantique et dramatique où excelle la nouvelle "Julia Roberts" de la comédie romantique hollywoodienne, Emilia Clarke, qui avait déjà envoutée, au cinéma, les spectateurs d' "Avant toi" la romance dramatique véritable carton au box office mondial de l'année 2016 en duo avec son compatriote Sam Claflin. "Last Christmas" se calque avec malice sur la chanson éponyme et iconique de Noël de George Michael. Emilia Clarke y incarne donc une jeune femme charmante mais surtout fantasque travaillant depuis peu comme lutin dans une boutique de Noël perpétuelle tenue par "Noëlle", une Michelle Yeoh tout en volupté, mais le vrai but dans la vie de la belle Kate est de devenir chanteuse et comédienne dans des comédies musicales sur West End (le Broadway de Londres). Mais la belle, souvent à l'ouest, vivote... d'appartements d'amis, qu'elle exaspère très vite, à sa famille yougoslave aussi farfelue qu'elle - avec une Emma Thompson truculente en mère traditionnelle yougoslave dépressive - Kate est plus qu'instable et cela surtout depuis que la jeune femme revit depuis sa transplantation cardiaque... C'est dans cette nouvelle période tumultueuse pour elle qu'elle rencontre d'une manière inattendu le charmant mais insaisissable Tom - l'irrésistible Henry Golding vu dans les très bons "Crazy Rich Asians" et "L'Ombre d'Emily" déjà de Paul Feig - avec lui elle va vivre son plus beau Noël... jusqu'à ce que le terrible secret de Tom ne lui soit révélé et ne vienne tout remettre en cause...

Annotation :

Vu - 06.01.2021

Pétard mouillé SF par excellence... Bien que l'idée de départ avait tout pour devenir une belle référence en la matière, le pourtant chevronné Mateo Gil (notamment scénariste en chef d'Alejandro Amenabar) réalise une oeuvre insipide dénuée d’intérêt et de saveur qui ne devrait enchanter personne tant cet objet cinématographique souffre de lacunes indéfendable : - scénario poussif labyrinthique qui regorge à outrance de flash-back pour tenter d'émouvoir les derniers spectateurs encore en poste après l'ouverture où la voix-off de notre Iceman décongelé de son sommeil ronronne pour endormir son public - le personnage clé incarné par un Tom Hughes à l'encéphalogramme plat interprète (avec un certain brio il faut le reconnaitre tant le faciès de Hughes colle avec son personnage agaçant et méprisant) la caricature du "connard" blanc riche à l'égo surdimensionné et autocentré sur ses envies et ses désirs en oubliant sans vergogne famille et amis dans le seul but de pouvoir vivre dans un futur possiblement très lointain une nouvelle vie sans son fichu cancer mais surtout sans eux (et cela lui va parfaitement bien) - la prestation navrante de Charlotte Lebon en infirmière du futur bisexuelle amatrice de plans à plusieurs mais surtout crédule sur les agissements de son patron - Barry Ward - responsable du projet Lazare dont Marc Jarvis serait le premier homme cryogénisé jamais ressuscité (d'ailleurs la québécoise ne se double même pas dans la version VF du film... consternant)... En bref, d'un ennui mortel "Realive" ne mérite clairement pas qu'on s'y attarde pendant quasiment 2h ! Aucunement !

Annotation :

Vu - 07.01.2021

Mêlant à fifty-fifty film de guerre et film de procès avec une petite touche de film d'évasion "Mission Evasion" de Gregory Hoblit (réalisateur des très bons "Peur Primale" ou "La Faille" au niveau du scénario mais souvent trop classique à la réalisation) se perd en conjecture ici par soucis de bien faire... Trop classique pour surprendre et des longueurs en fin de partie nous gâche le plaisir... Mais le casting sauf l'honneur notamment grâce à la fraicheur de Colin Farrell et de Terrence Howard et la consistance de jeu du très bon Marcel Iures en colonel allemand particulièrement retord... Bilan mitigé donc...

Annotation :

Vu - 08.01.2021

Note inchangée.

Annotation :

Vu - sur Netflix - 10.01.2021

"Code 8" où le pur produit comme sait les choisir Netflix... De l'idée dans le propos au niveau du scénario mais un gros manque de liant, de consistance dans la mise en scène et dans l'interprétation des acteurs à l'écran... Dommage parce que mieux produit cela aurait franchement pus devenir un best-seller du genre...

Annotation :

Vu - 11.01.2021

Sans plus... Si le duo Hathaway/Wilson s'en donne à coeur joie dans cette comédie d'arnaque à la sauce potache américaine le spectateur lui reste sur le carreau tant l'ensemble est poussif - surtout au niveau du scénario - et d'une certaine lourdeur à mi-chemin du film... Reste cependant le duo féminin Hathaway/Wilson qui est plaisant à voir évoluer ensemble mais sans plus donc...

Annotation :

Vu - 12.01.2021

Une comédie noire et même parfois gore portée par la resplendissante Katerine Heigl qui revient dans un premier rôle dans "Dangerous Housewife" après de nombreuses déconvenues au cinéma avec "Recherche Bad Boys désespérément" ou à la télévision dans la série "State of Affairs". C'est pour elle une première car elle incarne ici Mona Champagne épouse parfaite de Don Champagne petit patron sans envergure d'un magasin d'ameublement. Cependant pour Mona la vie rêvée vire au cauchemar quand son stupide mari entame une liaison avec la nouvelle vendeuse qu'il vient d'embaucher. Mais très vite la liaison devient hors de contrôle et Don s'en remet alors à Mona pour le sortir du pétrin dans lequel il s'est embourbé... Et Mona se révèle contre toute attente machiavélique et méthodique pour régler la situation et garder l'illusion d'une vie parfaite... Avec un casting flamboyant - Patrick Wilson, Jordana Brewster (Saga Fast and Furious), James Belushi, Kevin McKidd (Grey's Anatomy) - et une Katherine Heigl flamboyante Dangerous Housewife se révèle être une surprenante surprise tant on pouvait difficilement s'attendre à grand chose de ce DTV !

Annotation :

Vu - 13.01.2021

Comédie de "girls" à l'américaine, portée pour la nouvelle scène française de la comédie française - Sabrina Ouazani et Alice David ainsi que dans une moindre mesure la suissesse Charlotte Gabris - rafraîchissante et relativement soignée en dépit de très/trop nombreux clichés et d'un schéma trop attendu... A voir pour la sympathie communicative de son trio féminin... mais sans plus...

Annotation :

Vu - 13.01.2021

Un "Hollywood Homicide" ni fait ni à faire et sans le moindre intérêt... Tout est catastrophique et rien n'est à garder ! Vraiment rien ! Rien ni au niveau du scénario indigeste ni du côté du casting où l'éternel Harrison Ford et l'uniquement belle gueule Josh Hartnett cachetonnent à gros billets verts dans cette pseudo comédie policière, dans la lignée des "Arme Fatale", où tout semble faux et surtout le jeu d'acteurs du duo principal... 2 heures de perdues donc et bien triste fin de carrière pour Harrison Ford...

Annotation :

Vu - sur Netflix - 14.01.2021

Rien de plus et rien de moins qu'un gros flop... signé Netflix...

Annotation :

Vu - 15.01.2021

Note inchangée.

Annotation :

Vu - sur Netflix - 16.01.2021

Si l'ensemble plutôt divertissant et savamment orchestré par l'un des spécialistes du cinéma de super-héros qu'est Bryan Singer (Usual Suspects / la Saga X-Men...) on regrettera que le retour du célèbre super-héros Superman soit porté par un casting en demi-teinte... Avec du très bon en l'occurrence Kevin Spacey convaincant et juste dans le rôle du méchant antagoniste Lex Luthor ou encore les interprétations de Frank Langella, dans le rôle de l'éternel Perry White directeur du Daily Planet, ou encore de Parker Posey en excentrique camarade de Lex Luthor. Et du moins bon avec les choix pour le couple vedette Superman/Lois Lane. En Lois Lane la jolie mais sans référence ni poigne ni véritable jeu d'actrice Kate Bosworth et bien malheureusement le choix controversé de Brandon Routh quasi inconnu et inexpérimenté jusqu'ici pour le rôle titre et particulièrement exposé où le charisme nécessaire à l'incarnation du célèbre Superman lui manque cruellement...

Annotation :

Vu - sur Amazon Prime Video - 16.01.2021

Sympathique romance afro-américaine sur fond de musique jazz du milieu des années 60 avec au casting la nouvelle star du cinéma hollywoodien en la personne de Tessa Thompson (Creed 1 & 2 / Men In Black International) étincelante dans le rôle de Sylvie qui tombe folle amoureuse de Robert, incarné par l'illustre inconnu - Nnamdi Asomugha -, jeune saxophoniste en devenir qui décroche un job d'été chez le disquaire de son quartier... dont le gérant n'est autre que le père de Sylvie... Entre eux deux les sentiments sont réciproques mais le destin ne sera pas de tout repos pour eux... Classique dans la forme comme sur le fond "Pour l'amour de Sylvie" mérite le détour tant pour Tessa Thompson que pour la sensibilité qui se dégage du second long-métrage du new-yorkais Eugene Ashe.

Annotation :

Vu - 17.01.2021

Note inchangée.

Annotation :

Vu - sur Amazon Prime Video - 17.01.2021

Le réalisateur Michael Scott met en scène avec "Le Gâteau de la dernière chance" l'épisode le plus intense de la vie Angela Logan, mère célibataire de trois adolescents dont la maison de famille qui tombe en ruine faute de travaux au fil des années. Afin de régler ses dettes multiples, Angela se lance alors dans la vente de savoureux gâteaux aux pommes dont elle tient la recette de sa grand-mère... Et contre toute attente le succès est au rendez-vous avec les conséquences que cela va entraine pour Angela et sa famille... Téléfilm classique mais prenant sur le fabuleux destin d'Angela Logan et de sa famille. Kimberly Elise (la série Close to Home / Death Wish / John Q) convaincante y incarne avec intelligence Angela Logan.

Annotation :

Vu - 19.01.2021

Comme toujours dans les "Statham Movies" (quasiment un nouveau genre en soit comme il existe les "Neeson Movies" de Liam Neeson) l'acteur anglais s'en donne à coeur joie dans un récit où se rencontrent la fine fleur des mafias du monde entier (les Triades chinoises, la mafia russe new-yorkaise, les flics ripoux de South Manhattan etc.) et les plus gros tueurs new-yorkais se mettent à traquer un Jason Statham devenu SDF, après le décès de son épouse par la mafia russe, et une jeune chinoise véritable calculatrice humaine à la mémoire exceptionnelle qui détient un code que toutes les pourritures de la ville sont prêt à tout pour le décrocher...

Annotation :

Vu - sur Netflix - 20.01.2021

Une comédie romantique comme sait parfaitement nous les conter le cinéma américain, un duo de tête brillant (Josh Duhamel & Katherine Heigl), un soupçon d'émotion, de l'humour potache à foison, un final à la sauce hollywoodienne... Même si "Bébé mode d'emploi" ne révolutionne pas le genre le long-métrage de Greg Berlanti se suit avec plaisir...

Annotation :

Vu - sur Amazon Prime Video - 20.01.2021

Rob Reiner, Michael Douglas & Diane Keaton sur le papier un tel trio se devait d'accoucher d'une grande réussite surtout que le récit avait pour thème le sujet de prédilection de Rob Reiner : la comédie romantique... Mais malheureusement pour nous Rob Reiner n'est plus le Rob Reiner des années 80/90 le réalisateur de "Quand Harry rencontre Sally" ou du "Le Président & Miss Wade"... D'ailleurs dans "Ainsi va la Vie" (déjà le titre du film sent clairement la naphtaline...) Reiner y retrouve son président préféré j'ai nommé Michael Douglas qui alterne depuis quelques années déjà le bon et le moins bon... Il s'illustre ici en vieil agent immobilier veuf, cynique et devenu acariâtre au fil des années qui va devoir demander à contre coeur de l'aide à sa charmante voisine (Diane Keaton) pour garder et gérer l'arrivée de sa petite-fille de neuf ans dont il ignorait jusqu'ici l'existence alors que son fils doit une nouvelle fois passer par la case prison... Entre l'agent immobilier et sa chanteuse de voisine il y aura très vite de l'électricité dans l'air... Malheureusement tout est ronflant dans "Ainsi va la Vie" et rien ne fonctionne vraiment ni le scénario plus que poussif ni l'alchimie Douglas/Keaton à peine perceptible... Le film se repose sur eux mais ils n'ont plus l'énergie de leurs trente ans et cela se ressent...

Annotation :

Vu - 21.01.2021

Aussi vite vu et aussi vite oublié... Rien de bien intéressant malgré un casting solide (John Cusak, Luke Evans, Brendan Gleeson, Kevin McNally, Alice Eve) et le pourtant excellent James McTeigue (V pour Vendetta) à la réalisation... Mais malheureusement rien ne prend réellement à l'écran ni le récit, ni les personnages, ni même l'ambiance voulu par McTeigue... Un bien décevant thriller qui s'inspirait pourtant de l'inventeur du roman policier Edgar Allan Poe...

Annotation :

Vu - 23.01.2021

Oeuvre précurseur très simplement nommé "Earthquake" au sein du "Big Four" de l'âge d'or des films catastrophe des années 70 (avec "Airport", "L'Aventure du Poséidon" & "La Tour Infernale"). Le long-métrage du prolifique Mark Robson
suit une pléiade d'habitants de Los Angeles au cours d'une journée catastrophe faisant suite à série de violents tremblements de terre qui ravagent leur ville. Au casting la fine fleur du cinéma hollywoodien des années 70 avec en tête Charlton Heston et Ava Gardner avec à leurs côtés George Kennedy, Richard Roundtree, Victoria Principal ou encore l'historique Walter Matthau... Earthquake instaure à sa manière le principe du film catastrophe et la trame que les films catastrophe suivent encore aujourd'hui avec un héros salvateur capable d'actes fantastiques, des scientifiques cherchant à alerter les politiques et la population, des scènes d'action à couper le souffle et enfin le principe du film choral regroupant des tas de personnages secondaires et donc aux intrigues secondaires mais salvatrices... Si le film a aujourd'hui pas mal vieilli il se suit toujours avec intérêt mais souffre il est vrai d'importantes longueurs sur une durée de film un chouïa trop conséquente (+ 2 heures)

Annotation :

Vu - 23.01.2021

Divertissant sur le moment mais sans plus in fine... Reste surtout le casting avec Gerard Butler en tête suivi des très bons Gary Oldman, Common, Linda Cardellini et du regretté Michael Nyqvist.