2019 + cinéma =

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Vu au cinéma le Concorde le 05/06/2019 en VO

Il y avait de la concurrence cette année, entre le nouveau Tarantino, le dernier Malick et des films de Ken Loach et des frères Dardennes, difficile de s'imposer. Et pourtant Parasites a fait sensation, et pas si étonnant que ça vu le réalisateur. Finalement c'est bien mon chouchou qui a gagner sa palme d'or, première de corée, et plus que amplement méritée.

Le film doit être vu au plus vite, c'est une véritable bombe, qui réussit l'exploit d'être excellent à tous les niveaux. C'est divertissant tout en faisant réfléchir. La vision que propose le film est très intelligente car elle est double, qui est fautif dans l'histoire, qui est véritablement l'intrus ?

Incroyable comme je m'y attendais, j'ai déjà envie d'aller le revoir. C'est au même niveau que memories of murder, dans un style complétement différent. Enfin on se décide à reconnaitre le cinéma coréen !

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Vu au cinéma le Concorde le 9 Février 2019 en VO

Après mûre réflexion, je pense avoir adoré The Lobster. L'univers barré du réalisateur est d'autant plus fascinant quant il est mêlé à son style aseptisé.
J'adore Emma Stone, c'est également un argument de choc quand un film sort. Je ne pouvais pas rater la Favorite.
C'est viscéral, ça n'a pas besoin de me montrer explicitement ce que ressente les personnages pour les comprendre. Toutes les trois sont incroyablement bien écrites et interprétés. J'ai rarement vu un trio aussi juste. j'ai beau adoré Emma Stone, à aucun moment elle ne fait de l'ombre à Olivia Colman ou Rachel Weisz.
Je suis encore sous le choc de tout ce qui a pu se passer en à peine 2h. Les relations sont tellement fortes et toxiques, que chaque mot devient une arme à double tranchant. Des oeuvres traitant d'ascension social on connait ça depuis Bel-Ami, et dans le même contexte on pensera à Barry Lyndon. Mais là c'est encore autre chose, c'est plus sinueux. Et la fin nous montre bien qu'arriver au sommet n'est pas forcément une bonne chose.
Je cite les musiques, les décors, et le maquillage qui sont somptueux. Yorgos Lanthimos, impose son art, pour mon plus grand plaisir.

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Vu au UGC Strasbourg le 20 Février 2019 en VO

Je me suis quelque peu préparé pour celui-ci, après avoir vu Farhenheit 9/11 et citizenfour récemment, je connaissais le contexte dans lequel Dick Chenney avait opéré. Maintenant il fallait une bonne mise en scène pour présenter un des hommes de l'ombre les plus pourris que le monde ai connu.
Au vu de la filmographie d'Adam McKay et de son excellent Big Short, il était évident que ce film allait me régaler.
On commence simple, les acteurs sont géniaux, du moins les 4 principaux, qui incarnent tous des personnalités sensible, dans lesquels on peut très vite tomber dans la caricature... Mais là, en particulier Christian Bale (qui va certainement gagner l'oscar(ou pas du coup)), je trouve que le ton, la carure, et les expressions passent parfaitement. On ressent parfaitement le côté vicieux qui se dégage du personnage principal, à sa manière de choisir ses mots intelligements, et ne laissant transparaitre aucune émotions préjudiciable.
Mais là où The Front Runner s'est vautré, Vice s'en sort en beauté, de par son rythme et ses idées de mise en scènes qui pullulent d'ingéniosité. En vrac, on a le générique au milieu qui fait croire à une fin heureuse, la présentation des membres du gouvernements comme sur un plateau de stratégie guerrière, ou le narrateur qui n'est autre que le gars qui lui a sauvé involontairement la vie... Tout ça donne un ton comique au film qui en a bien besoin vu la masse de sujets sensibles qui sont abordés.
Vice est peut être un des meilleurs films traitant de politique qu'il m'a été donné de voir. Et même si on peut douter de la véracité de certaine scène, étant donné la discrétion du personnage sur ses agissements, il faut avouer que c'est bien joué et raconté, Dick Chenney était un manipulateur, un homme qui agissait dans l'ombre et qui connaissait parfaitement le système pour pouvoir faire absolument ce qu'il voulait.

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Vu au cinéma CGR les Minimes le 4 Mars 2019 en VF

Un film français de cette envergure et qui n'est ni une comédie, ni un film de Luc Besson, c'est extrêmement rare. Le spectacle que m'a offert le chant du loup est une bonne manière de montrer qu'on est encore doué en France pour faire des bons films à gros budget, et que peut être il faudrait que plus de projet dans ce genre voient le jour.
Je ne suis pas très familier avec le thème de la guerre, encore plus quand il s'agit de sous-marin. Et pourtant le film a su me faire rentrer complétement dans son intrigue qui fonctionne grâce à sa tension constante, et ses acteurs convaincants. Ça faisait longtemps que je n'avait pas vu (personnellement) Omar Sy et Mathieu Kassovitz au cinéma, et quel plaisir. C'était surtout pour moi l'occasion de découvrir François Civil qui incarne un héros très attachant, très Hollywoodien...
Les films de sous-marins vont peut être redevenir à la mode grâce à ce film, car en effet ça faisait longtemps qu'on en avait pas eu, et la qualité n'était pas toujours au rendez-vous. Mais celui-ci rien que pour les effets spéciaux il excelle. Mais c'est en particulier sur le son qui atteint un niveau de détail remarquable, et qui aide à construire l'histoire vu qu'après c'est l'oreille d'or que nous suivons.
J'éspere de tout coeur qu'on aura le droit à d'autre film comme celui-ci, pas forcément sur le même thème, mais quelque chose qui propose autre chose que de la comédie, et se rapproche plus de la qualité des divertissements américains.

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Vu au cinéma CGR Dragon le 24 Janvier 2019 en VO

C'est peut être la dernière fois que l'on aura pu admirer le jeu d'acteur légendaire de Clint Eastwood. Ce film je l'ai vraiment vécu à 200%, et même si je reconnais qu'on retrouve quelques petites longueurs propre à son cinéma, je n'ai pas pu m'empêcher d'éprouver un grand sentiment de compassion, que cela soit pour le personnage comme pour l'acteur et le réalisateur. Un film boulversant et drôle qui parle de l'apport de la vieillesse. Honnêtement, je pense qu'il peut s'arrêter là dessus, c'est tout ce qu'il me fallait pour conclure une carrière.

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Vu au cinéma CGR les Minimes le 26/01/2019 en VF

On est souvent mitraillé de films anti-raciste et politiquement correct lors de la période des oscars, ce qui peut entraîner un ras-le-bol quand on revoit toujours les même histoires se répéter. Mais, j'adore ces films qui se serve de l’oppression pour proposer un récit doux et agréable. La relation entre ces deux personnages, est juste magnifique, tout le monde aime, et moi encore plus, quand deux gens qui s'opposent deviennent très amis, justement parce qu'ils se complètent. Lors de ce road trip, Tony devient plus civilisé et ouvert et Shirley moins seul et coincé. Et pour le coup aucun des deux acteurs n'est en dessous, ils aident grandement à rendre cette relation incroyable. Et de toute manière rien de mieux que l'amitié pour combattre le racisme. Un feel good movie qui met tout le monde d'accord, et surement les oscars en particulier.

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Vu au cinéma CGR les Minimes le 7 Mars 2019 en VF

Cette saga a pour ma part réussi un sans faute.
A la différence des autres productions d'animation dreamworks, Dragons possède des personnages attachants, et avant tout des relations touchantes. C'est ce qui fait que tout le monde aime ces films, moi le premier. Il n'y a évidemment pas que ça, l'univers est bien construit, le fait de pouvoir voler à dos de dragons qu'ils soient rapides, immenses, mignons, ou les trois en même temps, vend du rêve au spectateur. Tout est manié de main de maitre pour offrir du bon divertissement pour les petits comme pour les grands.
Les deux premiers films étaient très bon dans leur domaine, et ce dernier opus fait peut être même mieux, en concluant non sans panache cette fresque d'aventure.
Déjà rien qu'au niveau de l'animation c'est magnifique, le niveau de détail des visages humains ferait presque de l'ombre au design des dragons. De plus cet épisode peut se vanter d'être le plus coloré, tout ça grâce à une scène qui a failli me faire exploser la rétine. Pour le reste c'est assez proche du film précédent, peut être un peu plus fluide, mais ce n'est pas non plus flagrant.
Tout n'est pas non plus sans reproche, à commencer par l'histoire qui ressemble un peu à ce qui a déjà été dit dans le second volet. Le méchant a beau être assez classe, il reste assez cliché avec sa super intelligence et sa tête de faucheuse. Mais Harold et Astrid rattrapent le tout en étant toujours plus mignon ensemble.
Je suis assez content de la manière dont ça se finit, c'était assez prévisible, mais ça fonctionne très bien.

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Vu au cinéma CGR les Minimes le 12 Février 2019 en VF

Après une longue attente et plusieur report, l'adaptation par Robert Rodriguez du manga Gunnm, est enfin à nos porte. Les visuels que j'avais pu apercevoir me faisait rêver, et les combats s'annonçait plus qu'épique.
Tout d'abord même si je l'attendais beaucoup, je ne suis pas déçu, malgré le fait qu'il tombe dans quelques passages obligés dans les blockbusters actuels, il faut avouer que ça envoie du lourd. Je ne connais pas l'oeuvre original, et je pense que pas mal de passage ont été survolés, mais en terme d'action il n'y a rien à redire, les combats s'enchainent et pourtant aucun ne se ressemble. La chorégraphie ultra sophistiquée donne plus d'impact lors des affrontements, Alita est pleine de grâce, virevoltant et envoyant 8 coups à la seconde. L'intérêt est d'autant plus renforcé, au vu de la créativité de ses antagonistes, de véritables monstres améliorés et armés de partout. Tous ces éléments atteignent leur zénith lors du match de motorball (sonnant très roller Ball) où l'action devient une véritable attraction émotionnelle.
Et heureusement que l'action constitue l'essence du film, car les scènes se voulant à émotion sont quelques peu ratés, faute du jeu léger de l'héroïne, et de son petit ami. Pour le reste du casting, le grand jeu est de mise, avec Christoph Waltz et Mahershala Ali, faisant parties de la crème de la crème des second couteaux.
Mais il est important de retenir ses personnages, surtout Alita, l'héroïne qui est plus qu'adorable avec ses yeux énormes, son innonence qui s'interchange avec son charisme. Les méchants se doivent donc de faire le poids en terme de présence, et je pense particulièrement à Zapan, qui a beau être assez faible, arrive tout de même à péter la classe, avec son design léché, et ses dialogues tranchant.
En bref le film rassemble vraiment ce que j'attends d'un bon film de divertissement, une histoire cohérente, intéressante, des scènes à émotions fortes, et des personnages attachants. Plus qu'à attendre une suite pour nous proposer toujours plus de combats surprenant.

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Vu au cinéma CGR Dragon le 5 Février 2019 en VO

Barry Jenkins, qui avait pondu le merveilleux Moonlight, nous rappelle avec un autre film qui garde toujours le même ton oppressant de la vie compliqué que vivent les afros américain.
Alors j'ai été moins convaincu par l'histoire et les acteurs qui même s'ils s'en sortent très bien, n'arrive pas à la cheville de Mahershala Ali. Tout de même cela demeure très puissant, en particulier dans les scènes de tendresses, qui sonnent véritable. Le propos est très bien amené, et est justement d'autant plus fort que l'on s'attache à ses personnages si passionnés. L'amour existe mais il ne peut se développer dans un système encore trop raciste...
La lumière a encore son importance dans cette œuvre avec un travail d'orfèvre sur chaque plan, apportant la grâce nécessaire à ces scènes d'amour.
C'est malheureusement peut être un peu trop long pour ce que ça raconte, mais c'est assez passionnant, et magnifique, mais après son dernier film, je m'y attendait un peu...

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Vu au cinéma CGR les Minimes le 16 janvier 2019 en VF

La construction de cet univers était pour moi un travail tout à fait fascinant, et je pense que c'est ce que Shyamalan a fait de mieux ces 20 dernières années. J'avais de quoi attendre cette suite, pastiche d'un X-men assombri par la réalité. Le verdict est sans appel c'est un excellent film qui mélange les points positifs d'Incassable et de Split, tout en apportant des nouveautés. J'aime énormément le fait de vouloir rationaliser les pouvoirs des personnages, en les présentant non comme des héros, mais comme des malades. Car c'est exactement ce qu'on ferait si ça existait. J'émets tout de même une réserve sur la fin qui, je trouve, casse ce qui avait été construit au début. Mais comme c'est Shyamalan, il faut qu'il y est un twist, je trouve ça un peu gratuit, et justement trop dommage car on perd le côté dérangeant qui planait tout le film. Autrement la réalisation est très bien pensé, en étant très rigide à l'inverse de ce qui se fait dans l'industrie du MCU, et pour le coup retrouver le trio d'acteur c'était comme un deuxième Noël.
Je pense qu'il faut s'arrêter là à présent, ou alors repenser toute la série, mais autrement j'ai vraiment passer un bon moment, un peu de déception sur la fin, mais jamais de l'ennuie.

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Vu au cinéma CGR les Minimes le 2 janvier 2019 en VF

Si je voulais synthétiser, on pourrait dire que c'est le film type de Zemeckis : une histoire dramatique touchante centrée sur un personnage dans son monde, sous la belle musique d'Alan Silvestri. Et pour être honnête ça me va, je ne dirais pas que ça vaut Forrest Gump, mais c'est le genre d'oeuvre douce amer qui fait relativiser sur nos rapports humains. Et en bonus on a une très bonne interprétation de Steve Carell, mais en même temps je ne l'ai jamais vu mal joué, et une animation en motion capture des poupée assez qualitative qui donne des situations souvent drôles et absurdes. C'est parfait pour commencer l'année en douceur.

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Vu sur Netflix le 5 Mars 2019 en VO

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Vu sur Netflix le 5 Février 2019 en VO

Le domaine de l'art m'a souvent fasciné, un monde de curiosité qui veut tout dire pour certain et rien pour d'autre. Déjà The Square avait gagné la palme d'or en proposant une réflexion sociétale et éthique à travers une exposition d'art moderne. Celui-ci tente l'originalité en faisant de l'horreur pour dénoncer le profit lié à l'art, et critiquer ses hautes sphères.
Dan Gilroy est un cinéaste qui s'assume en montrant l’Amérique sous toutes ses facettes, et cela passe par ses personnages qui sont difficile à oublier. Cette année il revient donc sur Netflix avec l'immense Jake Gyllenhaal, qui se lâche de plus en plus. Il est incroyable dans ce film, sa manière de s'exprimer très élitiste, sa posture et ses mimiques m'ont juste fait tomber amoureux de son personnage. Et il n'y a pas que lui, ils sont tous un peu déjantés...
Au final le propos du film est intéressant mais pas du tout subtil, ce qui fait un peu tâche. Et je sais que c'est assez déraisonnable mais je crois que j'ai adoré ce film. Jake Gyllenhaal est déjà un bon argument, mais le concept de tuer à travers l'art est tellement barré que je me suis laissé emporté dans le délire. Ça commence assez soft avec un accident et une pendaison, mais ça part très vite en saw / Terminator. Malgré ces idées géniales, l'ambiance reste inégale alternant trop souvent entre les tons.
En revanche côté réalisation on sent que Dan Gilroy commence à affirmer une certaine patte créative avec pas mal d'originalité dans ses mouvements de caméra et ses transitions.
Je ne comprends pas trop le bide qu'il accuse, mais c'est vrai qu'il n'est pas exempt de défaut. J’espère que son prochain film sera aussi original, car le schéma qu'il commence à dessiner m'intrigue beaucoup.

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Pour l'ouverture du festival de Cannes j'était très content de pouvoir voir en même temps que les festivaliers, le film d'ouverture, qui pour une fois me portait grand intérêt.

C'était plutôt étrange comme séance. Je m'attendais évidemment à quelque chose de spécial de la part Jarmusch, mais est ce que pour le coup ça ne serait pas trop décalé pour son registre. C'est encore un peu frais dans ma tête, et il y a encore quelques trucs qui m'échappent, mais globalement j'ai trouvé ça très drôle.
On retrouve bien Jarmusch sur sa gestion des silences et sa direction d'acteur qui est toujours aussi juste, avec en particulier Adam Driver qui arrive souvent à nous faire sourire. En addition d'un Bill Murray complétement désabusé, on obtient tout de même une bonne comédie, mais assez inégale surtout vers la fin.
Mais bon malgré tout cela ce scénario est peut être trop bizarre pour un film de Jarmusch. Pareil pour les références, qui sont un peu trop appuyé, et manque un peu de subtilité.
Au moins ça change de ce qu'on a l'habitude de voir, et il va surement faire parler de lui sur la croisette, mais ça m'étonnerait que ça soit en bien...

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Vu le 16 Février sur Netflix depuis mon smartphone en VO

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Vu au cinéma CGR les Minimes le 17 janvier 2019 en VF

Les films qui parlent de politique sont assez nombreux, mais pour en faire un bon film il est nécessaire de travailler la mise en scène pour que les spectateurs s'y intéresse et assimile le message. The Front Runner n'arrive pas vraiment à faire cela. Le film est pour commencer assez dense en terme de personnage, d'intrigue, et de lieux, mais il sait plus ou moins habilement nous dépeindre les situations. Je ne connaissais pas l'histoire, et c'est vrai que j'ai bien aimé cette critique du battage médiatique, tout en nuançant son propos de par l’ambiguïté de cette affaire. Hugh Jackman joue très bien, charismatique et stoïque, mais il ne rend pas le film plus attrayant, l'histoire est intéressante, mais elle mérite d'être mieux racontée.

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Vu au cinéma CGR les Minimes le 26/01/2019 en VF

J'ai beaucoup aimé le retour à la source qu'était le premier Creed de Ryan Coogler. On nous proposait le personnage d'Adonis avec la volonté de faire ses preuves en ayant une trop grosse renommé, qui se rapproche de la volonté du film à vouloir ressusciter la série. Mais ce deuxième est peut être un peu trop prévisible, un peu justement dans l'optique des suites de Rocky.
Le fait de retrouver le fils d'Ivan Drago animé par la haine, était une bonne idée, mais on répète trop ce qui a été dit sans jamais vraiment se renouveler. Mais c'est toujours aussi divertissant, les combats même si un peu trop éxagéré je trouve, nous propose une bonne dose d'action qui nous donnera envie de parier sur le vainqueur tellement on s'y croirait, même si le gagnant est à prévoir.

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Sympa par moment, très drôle au milieu, on reste quand même sur du film de super héros basique, avec un message bien mièvre. Un blockbuster qui connait les codes, mais qui ne veux pas se démarquer, un peu dommage.