2015 en musique depuis ma boîte bleu

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Déroutant, y a du bien beau derrière cette atmosphère surchargée. La fin du disque laisse une meilleure impression que le début, c'est rare !

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Punk-pop efficace, à voir si ça grandit bien

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Un peu de la crotte, qu'il arrête d'essayer de faire de la pop ce monsieur. Qu'il retourne bidouiller, s'il a du talent c'est clairement plus dans cette zone là.

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Changement de direction, déroutant mais morceaux au top, belle ambition

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Thurston Moore et Kim Gordon n'ont jamais splitté, promis, et leur dernier disque s'appelle Thrill Addict. Addict indeed, la joie de vivre primale de ce couple est contagieuse.

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Def Leppard, Survivor, Twisted Sister, Europe, Bon Jovi... ça vous fait frémir hein ? De honte ? C'est normal. Mais n'ayez crainte car Hayseed Dixie vous reprend tout ça en mode bluegrass. You ready ? Probably not.

Le premier plaisir coupable de 2015

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Je ne peux pas dire que c'est mauvais, les Decemberists savent de toute évidence écrire des chansons, ils font ça depuis longtemps et il n'y a rien de mauvais dans ce disque. En revanche je peux dire que je me suis ennuyé. C'est très long, monotone et la voix du chanteur sur une telle durée c'est un léthargique inévitable...

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Classique, bien fait. Du Ty Segall quoi, rien de renversant, surtout pour une durée si courte.

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Beau-bizarre. Mais beau. Mais un peu bizarre aussi...

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Impressionnant de synthés qui poutrent !

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Indie-rock dans la mouvance des débuts d'Arcade Fire (au niveau de la voix le mimétisme est évident), pas très original mais bien fait en somme. De toute façon, y savent tous écrire de bonnes chansons au Canada

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Une très grande richesse dans ce nouveau disque de Björk. Orchestration presque minimaliste par moment, et la plainte de l'Islandaise qui nous accompagne. Il aura fallu du temps pour que je rentre dans ce disque. Maintenant que j'y suis j'y reste, et je sens que les prochaines écoutes seront de mieux en mieux. La définition parfaite du"grower"...

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Le travail sur le côté hyper-électrique de la guitare est intéressant, mais sur tout un album on se demande quand même un peu où ça va... à réécouter

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J'ai du mal à rentrer dedans... pourtant on m'a vendu du rêve, je réessaie.

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Accoucher du grindcore ça devait déjà pas être facile à l'époque, mais arriver à un tel niveau de qualité presque 30 ans après c'est gargantuesque

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Le songwriting et l'écrin sonore du disque ne sortent pas vraiment de l'ordinaire, mais le mec a une voix incroyable et un beau charisme pour sûr. Reste à trouver les bonnes personnes avec qui bosser !

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Après une première écoute : du bon (un doux spleen), du très bon (des instrus classieuses), du moins bon (certains passages chantés notamment), ça vaudra bien quelques réécoutes

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Après Carpenter Brut, logiquement, le maître himself. Ambiances post-apo soignées et quelques vraies bombes synthétiques.

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Pour sûr, l'album continuera à maturer tout au long de l'année. Certains passages assez rudes et difficile à apprécier, mais une démarche d'ensemble exemplaire parsemée de gloire (si si)

Un petit côté "Trout Mask Replica" dans la déconstruction de la technique musicale et dans le fait que l'auditeur doit retourner son cerveau une ou deux fois pour tenter d'y piger quelque chose

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Dieu merci, il est loin d'être aussi chiant qu'une première écoute distraite de la piste d'ouverture le laissait pressentir. De belles atmosphères, forcément, heureux de voir que le bonhomme ne cesse jamais de se renouveler - même si on demeure d'une certaine façon dans sa mouvance synthétique entamée depuis Clear Moon.

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A réécouter. Zoli mais ze m'ennuie...

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J'attends l'album ! Cet EP est de meilleure qualité que le Dark Comedy de l'année dernière mais bien trop court alors qu'il instaure une très belle ambiance... Keep it on Mike

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Du folk traditionnel écossais, classique, mais brillamment interprété par ce bon vieux Roberts

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Pourtant ça partait plutôt mal, avec du math-rock pur-jus - et j'ai du mal avec le math rock, à l'exception de Ruins - mais à mesure que le disque défile ça va de mieux en mieux. Ils ont quand même un super son, mais je les préfère quand ils sortent du délire "tiens, v'là 5 breaks d'affilée WOUH! C'qu'on rigole !"

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Retour en belle forme après le décollage de "Dead Roots Stirring". J'ai même l'impression, mais les écoutes ultérieurs l'infirmeront peut-être, qu'ils ont gagné en subtilité sans perdre en puissance, ce qui fait du bien à la cohérence... Un grand moment de stoner/sludge/heavy et plus si affinités.

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Ce n'est pas la tuerie totale qu'une première impression massive et un Antony tout excité laissait pressentir, mais le retour du Pop Group (30 ans après tout de même) est plus qu'honorable ; toujours corrosifs, groovy, les mecs ont su évoluer et ça ne ressemble à rien d'autre.