Jeu de Jumpship, Dino Patti, Chris Olsen, Dominique Charpentier et Matteo Cerquone (2022 • PC)
Alors qu'il avait co-signé les excellents « Limbo » et « Inside », Dino Patti (ex co-fondateur de Playdead - ceci expliquant cela) revient sous la casquette du studio Jumpship pour nous faire voyager avec un « Somerville » malheureusement moins maitrisé en terme de gameplay que ses illustres prédécesseurs. Sous ses faux-airs d'« Another World », l'alchimie entre le gameplay et la narration muette fonctionne toujours mais le studio n'a pas su transcrire avec autant de justesse qu'auparavant ses mécaniques de jeu en des actions significatives pour le joueur. Il en résulte manette en main une progression souvent peu intuitive qui pénalise l'immersion.
Points positifs :
- La mise en scène in-game maitrisée
- De la bonne science-fiction/aventure des familles
- La possibilité d'avoir plusieurs fins...
Points négatifs :
- ...mais il faut être devin pour le savoir !
- Des mécaniques de jeu sous-exploitées
- Manque global de difficulté
Créée
le 15 janv. 2023
Critique lue 36 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Somerville
La même inventivité visuelle que Inside, la même cohabitation ingénieuse entre gameplay et narration mais malheureusement pas la même fluidité de l'action et les mécaniques de jeu intuitives.Dès le...
Par
le 23 nov. 2022
4 j'aime
Somerville s'entrevoyait comme un Inside croisé avec Rencontre du 3e type et... oui, mais non.On a plutôt un hommage à Another World avec la maniabilité d'un Dragon's Lair, assez frustrant du coup.....
Par
le 8 déc. 2022
2 j'aime
Alors qu'il avait co-signé les excellents « Limbo » et « Inside », Dino Patti (ex co-fondateur de Playdead - ceci expliquant cela) revient sous la casquette du studio Jumpship pour nous faire voyager...
le 15 janv. 2023
1 j'aime
Du même critique
« Parker Lewis ne perd jamais » est le pur fruit d’une époque : véritable caricature des années « lycée » américaines de la fin des eighties, la série a su s’imposer par son cocktail efficace de...
le 29 nov. 2014
6 j'aime
1
Encore un """biopic""" qui passe à côté de son sujet et qui explique au spectateur, à grand renfort de pathos, d'avantage comment le protagoniste principal a fondé sa famille que comment il a fondé...
le 3 sept. 2020
5 j'aime
1
« Bah écoutez... J'ai écouté l’homélie du père Dontnod et je suis encore un peu ébloui... Y'a les méchants et les gentils. Y'a les vilains qui veulent la pureté, la purification, l'horreur, quasiment...
le 23 mai 2021
5 j'aime
