Sans doute parmi les plus grosses descentes aux enfers du jeu vidéo. Si vous avez connu PSO sur DC (ou NGC, ça marche aussi) vous êtes conscient du monument que ça a été, et de l'apport du jeu au médium. Au minimum, c'est le ou l'un des précurseurs du jeu vidéo online sur console. Et pour beaucoup, un classique au même titre qu'un Ocarina of Time ou un Shenmue, osons le dire.
Ne refaisons pas toute l'histoire de la licence et allons droit au but : PSO2NGS est bon dans son gameplay et dans certaines de ses musiques. D'où mon très (trop ?) généreux 4/10. Tout le reste est problématique, à commencer par le suivi désastreux, la dimension bordélique du jeu, l'absence de endgame ou la pauvreté de la narration. Belle preuve qu'un gameplay ne fera jamais tout dans un jeu, quoi qu'on en pense.
Ici, on va faire les grosses MAJs et ça n'ira pas plus loin : et tant mieux car plus loin, c'est le vide.
Triste de finir ainsi.
Créée
le 6 juil. 2023
Critique lue 94 fois
Du même critique
EDIT 28/09/23 : avec le recul, et pour cette critique seulement je pense, j'estime ma note trop haute... On est plus sur un excellent 7/10 ou un solide 8/10. J'aime le jeu, mais j'ai fait du zèleIl...
Par
le 28 sept. 2023
69 j'aime
23
On peut saluer de bon cœur et avec chaleur les progrès certains de Square Enix depuis FFXV. Car ici, en Ivalice, il ne sera pas question d'open world rempli de stations essence, de cailloux et de...
Par
le 13 juil. 2017
51 j'aime
23
[H]eart versus [B]rain 7B est rationnel. Il sait prendre une décision rapidement, évite d'être trop subjectif et ne s'enferme pas dans des dogmes pour appréhender le réel. Il aime la logique et la...
Par
le 19 mars 2017
31 j'aime
2
