Une lettre d'amour au jeu vidéo

Comment dire que jouer à ce jeu est toujours un immense plaisir pour moi. Je remercierai jamais assez l'ami qui m'y a introduit.

Tout ce qu'il y a dans ce jeu est culte désormais. Que ce soit l'intro en monorail qui dure, les dialogues des pnj, certaines musiques, le combinaison HEV, et tout simple le pied de biche.

Valve a été très fort ici.

L'histoire est vraiment captivante quand on s'y penche réellement, le jeu est riche en gameplay et ne demande pas tout le temps juste de tirer bêtement sur les ennemis pour avancer. Et surtout, on prend le temps d'avancer petit à petit dans l'histoire. On découvre au fur et à mesure ce qu'il se passe réellement, ce qui nous est caché, on comprend pourquoi le gouvernement cherche à nous arrêter. Ce que beaucoup de gens reproche, c'est que Gordon Freeman, le personne que l'on incarne et qui n'est qu'un simple scientifique à la base, il n'a aucune connaissance en matière d'usage d'arme à feu (ou du moins de ce que l'on pense savoir) et qu'on arrive à tuer autant de militaires sur-entrainés. Et je suis pas convaincu du tout par cet argument, si il faut s'arrêter à ce genre de détails pour apprécier un jeu de cet époque, on ne vas pas bien loin.

Le jeu a une difficulté croissante, mais qui augmente en même temps que notre arsenal qui se diversifie un terme d'armes ou d'objets divers.