6
Venus (2022)
J.Balagueró, fort d'une expérience de réalisation d'une dizaine de films, démontre qu'il sait retenir l'attention de son assistance.Deuxième volet de la série The Fear Collection après le correct...
le 11 juil. 2023
6 j'aime
Voir le film
Hoyoyoy !
Le mal de cette décennie, j'ai l'impression, en terme d'écriture, c'est l'exposition. Tellement de films qui souffrent d'une exposition beaucoup trop longue. Ici, on pense qu'on commence directement dans le bain, mais la tension est vite stoppée pour seulement introduire les personnages, leurs relations. En soi, l'idée du film est chouette, mais son exploitation n'arrive que trop tardivement et puis c'est un peu con on peut le dire. Mais l'idée de cette secte est bonne. Et l'ambiguité de la fin est amusante, mais pas assez approfondie. Quand un film est con, on s'attend à ce qu'il soit généreux en retour. Mais ce n'est pas le cas, ainsi le gang à la fin est vite expédié et l'énorme monstre est vite oublié, alors qu'il y avait matière à une séquence aussi gore que jubilatoire.
La mise en scène est globalement correcte, avec quelques points de vue sympa. Le découpage est lisible, le montage bien rythmé. Les acteurs font le boulot. les effets spéciaux sont inégaux, certains effets gore sont cools, d'autres foireux car trop dépendant de CGI.
Bref, moyen.
5
Écrit par
Créée
le 8 mai 2024
Critique lue 12 fois
D'autres avis sur Venus
8
La tour infernale
Le succès critique et public du réalisateur espagnol Jaume Balagueró ne s’est jamais vraiment démenti depuis qu’il est sélectionné dans presque tous des festivals fantastiques européens (depuis La...
Par
le 28 mars 2023
4 j'aime
4
Pétard mouillé : Le film
J'ai beau savoir qu'avec Jaume Balaguero, c'est toujours la roulette entre grands films et nanars, mon niveau d'excitation était au plus haut. Une bande-annonce énergique, des stripteaseuses, des...
Par
le 14 févr. 2023
4 j'aime
Du même critique
5
Django in White Hell
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
10
Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
116 j'aime
45
5
Critique de Taxi Driver par Fatpooper
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
103 j'aime
55
