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Les cinéastes espagnols, de Buñuel à Almodovar en passant par de la Iglesia, ont toujours aimé mettre une bonne dose de poésie surréaliste dans leur cinéma. Une forme de folie douce dont semblent avoir hérité bon nombre de metteurs en scène québecquois.

Lewis-Martin Soucy respecte la tradition avec cette histoire loufoque de chien qui parle que n'aurait probablement pas reniée un Quentin Dupieux, servi par le toujours impeccable Roberto Alvarez (“Parle avec elle”).

C'est court, perché et d'une redoutable efficacité.
takeshi29
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le 23 mai 2013

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takeshi29

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