Tellement jubilatoire...

Et bien voilà! Le vrai point d'ancrage de la saga était pour l'instant le très bon troisième opus réalisé par Steve Miner, un point d'ancrage vraiment satisfaisant dû à l'amusement qu'il procurait.

Et bien, on peut maintenant dire que le vrai bon film de cette saga pour l'instant, c'est ce New Beginning, tête de file d'un des genres les plus jubilatoires du cinéma d'horreur, voire même du cinéma : le slasher bête et méchant. Danny Steinmann avait un contrat l'obligeant à surprendre le spectateur toutes les 7 minutes... Je ne pourrais peut-être pas dire surprendre, mais offrir un rebondissement ou un meurtre toutes les 7 minutes, ça, Danny Steinmann y arrive. Nous avons donc un rythme d'enfer, mené par des personnages vraiment intéressants, pour une fois, quoique tous abrutis et chair à canon pour un tueur fou en forme.

Le duo formé pour un quart d'heure entre Shavar Ross et Miguel A. Nunez Jr. (encore un qui a démarré en casualty pour un tueur fou) est génial. Melanie Kinnaman n'est pas insupportable, loin de là. Je remercie Dominick Brascia pour avoir été la victime la plus drôle et la plus choquante tout slasher réuni. Scène d'ANTHOLOGIE et véritable point de départ de la folie visuelle dont on est spectateur.

Ca tue de partout, n'importe comment, c'est totalement débile, violent, racoleur... Jubilatoire. Le meilleur pour l'instant.