Et surtout bon appétit bien sûr. J'avais once des films d'horreur asiatiques, moins des films d'horreur tawainés, alors pour The Sadness, on est clairement dans le film gore par excellence, lorsqu'un virus se diffuse dans le pays et où des milllions de personnes deviennent des zombies qui ont envie de sang et de sexe. On suit donc dans The Sadness, un jeune couple qui pensait que leur journée allait être tranquille mais ils vont finalement devoir vaincre l'adversité chacun de leur côté. Clairement, si vous aimez pas le sang qui gicle par litre et des cris masculins et féminins des zombies, vous pouvez passer votre tour. Et dans les faits, j'ai l'impression de retourner près d'une décennie en arrière quand les films d'horreur mainstream américain et occidentaux étaient à base de zombies sanguinaires (type 28 semaines plus tard).
Dans les faits, ce film est prenant, certes, dommage qu'il y ait finalement que peu d'histoire derrière ce film où l'on est dans un Survival assez honnête. Dommage que la fin est ennuyeuse
où la jeune femme se retrouve auprès du scientifique et qui raconte son plan pendant des dizaines de minutes sans grand intérêt.
On a franchement 1h de films correct, le reste à oublier.