Ma critique du film "The House on Sorority Row"

C'est depuis la sortie du remake que j'essais de voir ce film. Maintenant que j'ai mit la main dessus, je dois dire que j'ai eu toute une désérection. Qu'est-ce que j'ai trouvé ce film mauvais !

D'abord le tueur. Ou la tueuse, je ne sais plus. J'ai dû mal suivre le film. Est-ce que c'est la vieille madame ou Eric, mais Eric est-il réel ou est-ce la vieille madame qui est tellement crackpot qui se fait passer pour son fils qu'elle n'a jamais eu, mais l'avait-elle eu ? Comme je l'ai dit plus haut, j'ai dû mal suivre le film... donc je ne sais pas qui est le vrai tueur et pourquoi il ou elle s'habille en fou du roi. Enfin bref, peu importe qui est le tueur, ça me faisait trop penser au remake de Black Christmas (film que j'ai totalement détesté). Quand le passé du tueur est trop développé, et/ou trop dévoilé au public, quand l'explication de pourquoi "il est ce qu'il est" ne tient pas dans une simple phrase, alors moi je décroche. Je préfère les tueurs simples, voire mystérieux dont on ne sait pratiquement rien de lui.

Sinon, les filles de la fraternité, quelle bande de connes ! On voit que le stéréotype du "pacte du silence" n'a pas été inventé avec "I know what you did last summer". Quand tu tue quelqu'un, assume tes actes et rend toi à la police !!! Bien non, à cause de leur stupidité, elles vont se faire tuer une par une, et vont recommencer la même stupidité avec chaque cadavre de leurs amies ("Natasha est morte ! Vite, cachons son cadavre dans le buisson en espérant que la police ne le voit pas lorsque le massacre sera terminé !") Non mais faut-tu être vraiment irresponsable pour vouloir cacher les cadavres de ses amies quand un tueur rôde dans les parages. Elles méritent tous de se faire tuer.

Sinon, les meurtres ne sont pas fameux. Rien de bien originaux. Quelque décapitations, quelque tranchage de gorges, rien de bien mémorable.

Je donne un petit 2/10 à ce minable film, et je retourne fièrement regarder le remake qui est de loin meilleur que le film original.