The beekeeper : Adam Clay est un homme paisible, qui loue une grange et s'occupe de ses abeilles. Lors que sa voisine se suicide et qu'il découvre qu'elle a été victime d'un important groupe de hackers escrocs, il décide de décimer toute la chaîne. Car Clay est un ancien Beekeeper, agent spécial d'une organisation secrète.
Bah si ça, ça vend pas du rêve...
Sans surprise, rien ne va. Déjà dans l'espace et la crédibilité des choses : la fille de la vieille dame est agente du FBI, les escrocs sont dans la ville d'à côté, ceux qui dirigent ces vilains là sont aussi à côté. Et évidement le fils de la Présidente des Etats-Unis est impliqué, et tout ce petit monde là vit à 10 minutes de voiture.
Après dans la narration et les dialogues : les personnages répètent ce que le précédent vient de dire pour être sûr que tout le monde a bien compris. C'est profondément stupide et tiré par les cheveux. Heureusement que les vrais vilains ont des fringues improbables, car même le spectateur a envie de les buter.
Le casting ? Statham fait une pause tous les 4 mots car il n'arrive pas à se rappeler de son texte, Jeremy Irons cachetonne et apparaît moins de 10 minutes, mais fait une plus belle perf que dans le Donjons et Dragons de 2000.
Ca dure 1h45, on se serait largement contenté d'un film de 20 minutes.