"Spider-Man" est de retour sur les écrans dix ans après le premier volet de la trilogie de Sam Raimi, l’homme qui a relancé avec succès la mode des super héros à l’écran. Forcément, la comparaison s’impose. S’il y a match nul entre les deux comédiens, Andrew Garfield, à l’instar de Tobey Maguire son prédécesseur, a vraiment l’étoffe du héros, l’avantage de la mise en scène, de l’originalité et de l’humour va indéniablement à Raimi. À défaut d’une toile de maître, ce remake, première pierre d’une nouvelle saga, dispose toutefois de tous les atouts fun pour s’imposer.
Clin D'œil :
- Ce reboot ne suivra pas l'histoire des comics Spider-Man crées dans les années 60, contrairement aux films de Sam Raimi, mais se basera sur la récente saga Ultimate Spider-Man créée par Brian Michael Bendis et Mark Bagley.
- Peu de temps après que Marc Webb se soit imposé face à David Fincher, Wes Anderson et James Cameron, Andrew Garfield a été choisi pour le rôle de Spider-Man, au nez et à la barbe de Jamie Bell, Aaron Johnson ou Anton Yelchin, puis Emma Stone est devenue Gwen Stacy, alors que Teresa Palmer, Mary Elizabeth Winstead ou Mia Wasikowska avaient également été envisagées.
Comme à son habitude, Stan Lee, le créateur des superhéros Marvel, fait une courte apparition dans l’adaptation ciné des aventures de ses héros. Ici il incarne un bibliothécaire.