Le film d'espionnage à la Christopher Nolan, ça te retourne avec Tenet, le titre qui se dit aussi bien à l'envers qu'à l'endroit.
Tenet, c'est quoi ? C'est tout d'abord un mot appris par le protagoniste (l'acteur John David Washing) par son supérieur et nous n'en saurons pas plus
sinon qu'il paraît que c'est le nom d'une technologie projetée depuis le futur et qui sert de prendre action dans le passé, donc le présent dans l'histoire qui suit mais comment en être sûr?
Entre de mauvaises mains, comme celles d'Andrei Sator joué par Kenneth Branagh, un méchant james bondien déterminé, le Tenet peut être utilisé comme une arme dangereuse sur les deux linéarités temporelles que des agissements traversent comme autant de boucles ou de noeuds pour suturer une ligne liant deux dimensions d'espace-temps contraires.
Car l'enjeu, là, dévoilé dans les bandes annonces, est d'éviter un conflit mondial, la troisième guerre qui risque de tout éradiquer pour la cause d'un grand malade brutal et paranoïaque. C'est très James Bond mais c'est ficelé à la façon science fiction nous menant entre deux dimensions où les entropies sont réciproquement inversées.
Le reverrai-je pour une autre lecture ? Ce que je sais est qu'en sortant du cinéma, je ressentais un sentiment bizarre, comme retourné.