Les Québécois ont le parlé et l'action libre. Dans ce film Simple comme Sylvain, de Monia Chokri, les histoires d'amour, de cul, les discussions sans fins sont naturelles. La crise de la quarantaine, le couple qui s'use dans le quotidien, l'amant qui surgit, les différences culturelles, tout est bien sauf la fin car on n'est pas obligé de se conformer à sa position de classe. Avec un petit extrait de Monk, des paroles de Sardou et la belle et géniale Magalie Lépine-Blondeau.
Créée
le 6 déc. 2023
Critique lue 27 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Simple comme Sylvain
Troisième long métrage pour Monia Chokri, troisième réussite. L'histoire connue, une bourgeoise, universitaire, s'ennuie avec son compagnon et va tomber amoureuse d'un mec d'une classe sociale...
Par
le 9 déc. 2023
36 j'aime
Monia Chokri conte l'attirance entre une universitaire en philosophie maquée (on a le droit à plusieurs pensées de philosophes, comme Platon ou Spinoza ou Sardou, sur ce qu'est l'amour !) et un...
Par
le 10 nov. 2023
27 j'aime
9
Monia Chokri est en phase de devenir une cinéaste incontournable du paysage cinématographique québécois! Après deux œuvres à la fois très différentes (par leur sujet) et similaires (par la manière...
Par
le 4 oct. 2023
20 j'aime
5
Du même critique
Excellente série sur une escroquerie effarante en grande partie dû à la légèreté de l'Etat qui a payé 300 millions d'euros pour cette fraude à la TVA des quotas carbone. La mise en scène, les...
le 7 nov. 2023
5 j'aime
3
Il y a de bons moments, un recul sur le cinéma d'action, ce n'est pas non plus le film du siècle mais une manière de se rafraichir la mémoire quand on s'enthousiasmait sur des films légers, à la...
le 22 févr. 2015
3 j'aime
"Tenez-vous en au plan. N’improvisez pas. Ne faites confiance à personne", le tueur répète cela plusieurs fois dans ce film déceptif comme un long voyage au bout de la nuit. Le côté clinique du...
le 11 nov. 2023
2 j'aime
