Une errance mentale qui augurerait pour un peu Sans Soleil, dans l'écrin d'une forme, la suite de photo doublée, similaire à celle de La Jetée.
Des images qui nous font faire le tour du monde, sans omettre de nous rappeler notre subjectivité, comme un objectif photographique qui projetterait autant qu'il capterait.
Et toujours cette poésie hors du temps, éternelle nostalgie emprunte d'un sourire blagueur et bienveillant, qui, quelque soit le sujet, irradie toujours du travail de Chris Marker.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les obscures pépites que j'aimerais voir briller, Sans le(s) chat(s) le film serait quand même un peu moins bien, Quand je déménagerai ça fera beaucoup de cartons (Section DVD/BR) et 2023, sabre de bois !
Créée
le 28 déc. 2023
Critique lue 8 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Si j'avais quatre dromadaires
Après avoir découvert son documentaire sur le ciné-train, je m'attaque à une approche un peu plus "classique" de la part de Chris Marker : le diaporama commenté. C'est un peu vache de décrire son...
Par
le 1 mars 2024
3 j'aime
Si j'aime bien ce genre de film, juste des photos commentées, d'habitude Marker arrive à m'émouvoir, ou plus du moins. Là le seul moment vraiment beau, enfin vraiment triste, reste l'image de...
Par
le 30 déc. 2014
3 j'aime
Une errance mentale qui augurerait pour un peu Sans Soleil, dans l'écrin d'une forme, la suite de photo doublée, similaire à celle de La Jetée.Des images qui nous font faire le tour du monde, sans...
Par
le 28 déc. 2023
1 j'aime
Du même critique
Encore un film d'animation qui ne va pas être distribué avec les bons arguments, lors de l'avant-première en guise de dossier de presse on nous donne le genre de brochures pour les enfants de...
Par
le 7 juil. 2019
19 j'aime
Aujourd'hui Jean-Paul Belmondo est mort, et avec toute la tristesse que cette annonce m'a procuré, j'ai ressenti le besoin de revoir ce film. Pourquoi celui-ci je ne sais pas, peut-être parce que...
Par
le 6 sept. 2021
8 j'aime
2
Un immense oubli dans les classiques connus et reconnus du cinéma japonais, dans la droite lignée du Entre le ciel et l'enfer de Kurosawa, et augurant en un sens les immenses adaptations de Matsumoto...
Par
le 2 août 2021
7 j'aime
