Aprés un second opus qui ne faisait que suivre une route balisé, le troisiéme Sharknado tente au moins quelque chose qui change… mais n’en est pas un vrai nanar pour autant…
Alors qu’il est décoré par le président des Etats-Unis, Fin fait de nouveau face à un Sharknado… le déjoue… et refait face à un autre quelques semaines plus tard alors qu’ils semblent se multiplier…
Pleinement conscient de sa popularité auprés des jeunes, la franchise Sharknado va donc essayer de faire mieux mais si on exclut un final totalement WTF dans l’espace (avec Bruno Salomone et David Hasselhoff !), et une intro qui laisse entrevoir une vraie folie, le reste ne fait que répéter la formule des premiers films, et nous rappelle que Frankie Muniz n’a plus de carriére. En dehors de ça, rien à se mettre sous la dent…
Contrairement aux requins encore plus laids et mal incrustés dans le film précédent var à vouloir en faire plus plus vite, il finit par gâcher ses bons points avec de mauvais qu’il n’avait pas auparavant, essayant de plonger au plus loin dans le nanar, quitte à copier tous les poncifs scénaristiques dans un gloubi-boulga sans aucun sens ! Alors OK, on se marre de temps en temps et c’est mieux que le deuxiéme, mais c’est loin d’être remarquable…