Avant de commencer, il convient de préciser que je n'ai jamais regardé cette série, que je n'avais aucune envie de regarder ce film, mais qu'à la suite d'un marché douteux je me suis retrouvé à me plonger dedans. Je précise également que j'avais de gros a priori négatifs sur ce film, qui ont pu influencer légèrement mon visionnage, mais je les confirme a posteriori.


Voici donc 2h30 dans la tête d'un homme coincé devant Sex and the City : le film.


0h00 : lancement du film.


0h05 : ça commence très fort, magnifique générique à base de montage dégueulasse sur une musique pop, voix-off inutile, et exposition des personnages (pour ceux qui n'ont pas vu la série).
Ah tiens, y'en a une qui est stérile. Une pièce qu'elle va tomber enceinte.


0h07 : Carrie Bradshaw traverse une rue. Je me surprends à espérer qu'elle se fasse renverser et que le film s'arrête là. Espoir vite déçu.


0h08 : en tous cas, il s'est pas passé grand-chose en 2h. Ah mince, 8 minutes de film.


0h10 : ça a déjà l'air niais et superficiel. On s'enthousiasme sur des fringues, l'important dans un appartement c'est la taille du placard...


0h11 : Carrie Bradshaw a un bouton sur le menton. C'est extrêmement gratuit et personnel mais ça m'énerve au plus haut point.
Son personnage semble avoir une personnalité très forte. Une conversation avec une femme dans les toilettes suffit à la convaincre de se marier, elle qui apparemment était contre... Mais faut bien trouver des petites astuces pour remplir ces 145 minutes de vide (oui, 145 minutes).


0h13 : et ça y est ils sont fiancés. Ils en ont discuté en préparant un osso bucco et c'est bon.
"You know, there's no clichéd romantic kneeling on one knee" (ouais, t'as raison, c'est trop cliché quand ils font ça dans les films ! On en reparle dans 2h ok ?).
Et elle veut se marier dans une robe simple, même si ses amies la trouvent "pretty but simple". (on en reparle dans 5 minutes de ça)


0h15 : 3 minutes de montage pourri sur un shooting en robe de mariée. Placements de produits dans tous les sens. ça y est j'en peux déjà plus.
Eeeeet quelle surprise, on lui offre une des robes de mariée ! La simplicité c'est bien, être superficiel c'est mieux.


0h20 : Carrie lit un livre de lettres d'amour à voix haute : "My dearest Josephine, I wake consumed with thoughts of you". C'est mignon.
Le problème c'est qu'on voit très nettement le texte du livre sur le même plan : "My dearest Josephine, I wake filled with thoughts of you".
Ok, c'est une petite différence, mais se planter en lisant un texte qu'on a sous les yeux et qu'on montre à l'écran quand même...


0h22 : elle reproche à son fiancé de ne jamais lui avoir écrit de lettre d'amour. Qu'est-ce que ce serait émouvant et surprenant si pour la réconquérir - dans un quelconque scénario hypothétique où pour une raison aléatoire ce mariage prévu en début de film ne se ferait pas - il lui en écrivait.


0h23 : on est passés du mariage simple à un truc immense avec 200 invités, dans un grand palace, une robe magnifique... Quel dommage qu'ils dénaturent leur amour avec tout ça, j'espère qu'ils ne vont pas se séparer juste avant le mariage pour cette raison !


0h26 : elles parlent de sexe devant une gamine de 5 ans.
Scène de cul aléatoire avec Carrie pour démontrer ce qu'elle vient de dire.
Gros plan sur une érection d'un homme en caleçon.
Attends quoi ?
Ah non, c'est pas une érection, c'est une boîte qu'il a cachée dans son caleçon le polisson ! Avec une jolie bague dedans. Ah, le romantisme.
Re-scènes de cul aléatoires.


0h32 : réunion des filles dans l'ancien appart de Carrie, pour l'aider à choisir les fringues qu'elle va garder ou non. OH NON...
Carrie lance un CD. Walk This Way d'Aerosmith démarre. OH NOOON.
Et c'est parti pour 5 minutes de montage sur des essayages de fringues sur du Aerosmith... Pretty Woman a vraiment fait du mal au cinéma.


0h36 : une des filles découvre que son mari l'a trompée. Séparation, larmes... Ah non pas larmes. Brunch avec les copines dans un hôtel de luxe. Ok, chacun son truc.
Après 35 minutes de film on découvre donc le happy end d'un deuxième personnage, la réconciliation avec son mari (pour rappel le happy ending d'un autre personnage nous était annoncé dès le générique de début).


0h39 : ah, voilà les premières embrouilles entre Carrie et John parce que le mariage devient trop grand, trop impersonnel.
"I could have just gone to City Hall". Aaaaaaah, ça sent le mariage à la mairie à la fin du film ça ! Après l'annulation au dernier moment du mariage, et les retrouvailles complètement aléatoires au détour d'un café, ou d'un restaurant...
40 minutes de film et on a déjà la résolution pour tout le monde qui nous est annoncée. Il reste 1h50. ça va être très très long.


0h44 : après un toast hilarant ET adorable (félicitations aux auteurs), la rousse s'engueule avec son mari (celui qui l'a trompée) et de frustration dit à John qu'il ne devrait pas se marier.
Comme il a autant de personnalité que Carrie (et qu'un bulot apparemment), ça suffit à lui installer le doute.


0h45 : oooh, une petite gamine de 5 ans vient juste de dire "sex", comme c'est drôle (en tout cas elles ça les fait bien marrer), comme c'est mignon... Ah mais attends non. C'est débile.


0h48 : jour du mariage. Vraiment, au bout de 45 minutes de film, je ne vois aucune raison pour que ce mariage, élément central du film, ne se passe pas bien !


0h50 : QUOOOIIII ??? John ne descend pas de sa limousine et s'en va, laissant Carrie le coeur brisé ???!!!
Et évidemment il est pris de remords, il se retourne, revient en arrière, mais c'est trop tard le mal est fait et elle lui fait une scène en public en extérieur.
Et c'est fini. Je comprends pas, une histoire d'amour aussi solide, aussi...


1h00 : mariage annulé, mais pour lui remonter le moral, direction le Mexique ! Bah oui, la lune de miel était pré-payée, faudrait pas gâcher...
Séquence "Carrie Bradshaw sans maquillage", pour montrer qu'elle est vraiment déprimée, et qu'au fond, c'est une femme comme les autres.
Puis elle dort toute la journée dans sa suite. Moi aussi j'ai envie de dormir.


1h04 : elle sort enfin de sa suite pour qu'elles aillent bronzer. Débat sur l'influence du mariage dans l'épilage des cuisses.


1h06 : Je pense qu'une des filles s'apprêtait à citer Nietzsche, mais elle a été prise de court par une de ses amies qui a sorti du pudding de son sac.


1h10 : et c'est une magnifique blague caca ! On applaudit bien fort la blague caca ! (Karim Debbache rpz). On nous avait prévenus que Carrie ne recommencerait à rire que devant quelque chose de très drôle ("really, really funny"), et c'était ça ! Donc selon les auteurs, ils sont là au point culminant de leur humour. Une femme (la juive prude en plus) qui se fait caca dessus.
Allez, on en est à 1h10 de film.
SEULEMENT 1h10 ??


1h11 : seule sur le sable, les yeux dans l'eau... je hais Carrie Bradshaw (Roch Voisine rpz).


1h13 : Carrie engage une assistante parce qu'elle n'a pas le courage de gérer ses mails. Louise, de St Louis. On en est à ce niveau de blagues maintenant ? Qu'est-ce qui se passe, Popeck a rejoint le groupe des auteurs ?
Eeeet encore un montage pourri sur de la musique pop. Ce coup-ci pour illustrer comment Louise de St Louis a remis de l'ordre dans la vie de Carrie. ça devient pénible ces montages. Non pardon, le premier était pénible. Là ça devient insupportable.
Et elle est tellement géniale que Louise de St Louis devient Sainte Louise de St Louis (HUMOUR).


1h15 : ah, apparemment pour trouver un appartement il faut juste chercher un camion de déménagement, monter dans l'appart en train d'être vidé, s'inviter dedans, et dire qu'on est intéressé. Easy la vie à NY.


1h16 : Carrie lit une histoire à la fille adoptée de son amie, et trouve ça important de lui expliquer que les contes de fée ce n'est pas réel, que ça ne se passe pas comme ça dans la vraie vie. Elle a raison, on leur donne trop d'espoir aux jeunes de nos jours. Faudrait leur expliquer dès le CP comment ça marche les impôts aussi.


1h17 : BREAKING NEWS : la femme stérile est enceinte ! Champagne ! Enfin, pas pour elle du coup...
Explication de l'intéressée : apparemment l'adoption ça re-booste les femmes stériles. Je vous laisse juge de la pertinence du propos.


1h20 : St Louise met les mails de John à Carrie en spam pour ne pas qu'elle ait à les lire.


1h23 : Carrie tombe sur le Vogue où elle pose en robe de mariée, et s'aperçoit que toute la ville sait que son mariage est tombé à l'eau et donc qu'elle est célibataire. Blessée par le regard des autres (1 personne, je vous rappelle qu'on parle d'une personne facilement influençable), elle se teint en brune. Wow, super idée ! Camouflage ultime.
"Eh on dirait la fille dans Vogue !
- Nan, elle est brune, alors que dans Vogue elle est blonde.
- Ah ouais t'as raison. Heureusement que c'est impossible de changer la couleur de ses cheveux, sinon on aurait du mal à la retrouver."
Ah bah d'ailleurs, même Sainte Louise a du mal à la reconnaître. On parle bien de son assistante personnelle, celle qui la côtoie tous les jours ?


1h26 : la blonde obsédée par le sexe et le botox du groupe (dont on n'a globalement rien à foutre jusque-là) a un voisin qu'elle veut culbuter. Un voisin légèrement exhibitionniste d'ailleurs. Qui est là pour rappeler si besoin que c'est un film pour individus de sexe féminin.
Et pour évacuer ses frustrations, elle achète un chien. Chien qu'elle choisit parce qu'il est en train d'essayer de forniquer avec une peluche.


1h29 : et voici la back story de St Louise, qui a un copain qui a rompu avec elle alors qu'elle croyait que c'était le bon. Donc elle aussi a son intrigue, et elle aussi a déjà sa résolution annoncée. L'avantage de ce film, c'est qu'on est en zone de confort. A tout moment on sait ce qu'il va se passer (sauf quand les auteurs donnent tout avec une blague caca). Bon l'inconvénient c'est qu'on s'ennuie. Un peu. Beaucoup même.


1h30 : seulement 1h30... Enchaîîîîîîîîîîîne !!!!


1h32 : ils en sont tellement fiers qu'ils rappellent au public qu'ils ont fait une blague scatophile.


1h33 : Miss caca se remet à la course à pied.
St Louise from St Louis offre à Carrie le DVD "Meet me at St Louis". Le brainstorming a dû être intense sur cette séquence.


1h35 : Carrie passe le Nouvel An seule chez elle, comme sa copine cocue. Devant un instant aussi triste une seule chose s'impose. Un montage pourri sur de la musique vomitive !
Carrie rejoint sa copine, et ô surprise, St Louise from St Louis retrouve l'homme de sa vie à St Louis ! (enfin du moins on suppose, faute de dialogues grâce à la musique).
On a le droit à un petit plan de tous les protagonistes, de John au mari de la rousse... C'est long.
Arrêtez ces foutus montages à 2 francs !!
Et un chien baise un coussin.


1h45 : ah, ça faisait longtemps qu'on avait pas eu un instant matérialiste ! Défilé haute couture. Et il ne se passe rien. Comme depuis 1h45. Seulement 1h45 ?? J'en peux plus.
Ah, et au passage, comment montrer un défilé rapidement à l'écran sans ennuyer le spectateur... Cherchons, cherchons... Oh et puis tant pis, remets un montage avec de la musique pop générique.


1h47 : St Valentin. Sans doute l'apogée de l'année pour des personnes aussi matérialistes et intéressées par l'amûûûr.
Carrie et sa copine rousse (désolé, je ne sais toujours pas son nom) mangent ensemble, elles s'engueulent quand Carrie apprend que c'est à cause d'elle que son fiancé a flippé... Bla bla bla, on s'en fout...
La blonde nympho attend son copain nue avec des sushis sur le corps. Je ne comprends toujours pas à quoi sert ce perso. A part peut-être à nous montrer les parties de jambe en l'air du bel éphèbe lui servant de voisin.


1h55 : comment se réconcilier avec Carrie quand elle est énervée ? On l'attend devant chez elle dans un taxi en disant que ça nous a déjà coûté 17 balles. Bien joué rouquine.
Et en une phrase, Carrie la convainct de pardonner son mari qui l'a trompée. Euh... Ok ? Aucun de ces personnages n'a de la personnalité ?


2h00 : BOUM ! Happy ending de la rouquine, réunion avec son mari au milieu du pont de Brooklyn. J'espèrais plutôt qu'elle saute mais bon... Ah tiens, non, en fait elle se fait sauter juste après.
Plus que 30 minutes.


2h02 : la blonde nympho (Samantha !) entre par accident chez son voisin (à cause de son chien obsédé qui en profite pour culbuter une serviette (haha, quel petit animal drôle et attachant). Ceci est prétexte à la seule raison que je peux concevoir pour l'existence de ce personnage : 1 minute de son voisin à poil qui prend une douche. A base de gros plans sur tous ses muscles, bien saillants, oh oui tu es beau, fais l'amour à la caméra, et probablement à la productrice pour avoir le rôle... se terminant par un bref aperçu de pénis. Voilà voilà.
Apparemment le gars est assez serein en plus d'être exhibitionniste puisqu'il lui propose carrément de le rejoindre. Et elle refuse. Sans qu'on sache pourquoi.


2h05 : discussion entre filles sur la joie dans le couple. Encore une fois, Descartes était sur le bout des lèvres d'une des filles, mais elle est interrompue par... le chien qui se tape un coussin à 300$.
Du coup on se contente de comparer une relation à une chimiothérapie (haha, y'a vraiment pas de tabous dans cette série, on est des foufous).


2h08 : St Louise quitte Carrie, sur un ultime jeu de mots : "You gave me Louise Vuitton" (jeu de mots + placement de produit, combo gagnant).


2h09 : la femme enceinte (Charlotte ! Nom de dieu, je découvre tous leurs prénoms là !) croise John dans un café. Elle s'énerve contre lui, elle perd les eaux. Je perds mes nerfs.
10 minutes, 10 minutes.
Le père explique à Carrie que John est un type bien qu'il lui écrit tous les jours mais qu'elle ne répond jamais (eh oui, St Louise l'a mis dans les spams !). Après 2h (selon la voix off) à chercher dans son courrier et dans ses mails, elle se rappelle enfin qu'elle a demandé à St Louise de les mettre à l'écart et va enfin voir le dossier qu'elle ne regarde jamais dans ses mails ! Brillante idée. Sauf qu'il faut un mot de passe pour y accéder. Hmmm. Qu'est-ce que ça pourrait bien être ? Mais bien sûr, "love". Pourquoi faire compliqué ou même simplement subtil quand on peut enfoncer des portes ouvertes avec fracas ?
Et là, quelle surprise. John lui a envoyé plein de lettres d'amour, pompées sur des gars qui savaient écrire (Beethoven, Voltaire, Byron, Keats...). Donc lui n'a rien fait. Mais apparemment ça suffit à la convaincre que c'est un gars bien.


2h16 : Carrie retourne à l'appart où elle voulait vivre avec John (celui qui a un grand placard) pour récupérer des chaussures (parce qu'elles valent cher). Et quelle surprise ! John est dans le même placard au même moment !
Retrouvailles, émotion, amûûûûr ! "It wasn't logic, it was love."
Je confirme, ça n'a rien de logique. Mais vu la personnalité dont elle fait preuve depuis le début du film, c'est pas étonnant que le simple fait d'associer ce gars à un grand placard et des chaussures bien chères puisse la faire chavirer.


2h17 : J'en peux plus.


2h18 : J'en peux plus.


2h19 : Proposition de mariage de John. GENOU A TERRE ! Même vous au début du film vous avez dit que c'était cliché les gars... Et faute de bague, une chaussure avec des diamants ça suffira.


2h20 : Quelle surprise : un mariage simple, juste eux deux, à la mairie, dans une robe sans marque. Ah c'est beau l'amour.
John évoque les amies de Carrie. Juste devant une magnifique porte battante. Et OH SURPRISE je les ai appelées elles sont là derrière cette porte !


2h22 : magnifique speech de fin sur l'importance de ne pas mettre des étiquettes sur les gens, sur l'importance de ne pas vivre que par et pour les marques, les étiquettes (double sens de "label" en anglais), mais qui sonne complètement faux vu la boîte dans laquelle elles vont, les robes qu'elles portent et les 140 minutes précédentes. Hypocrisie totale.


2h23 : FIN DU CALVAIRE




Ce film est une catastrophe. J'ai pleinement conscience de ne pas être la cible, mais vu ce qu'il est ce film ne devrait pas avoir de cible.
Niais, vide, superficiel, matérialiste, consumériste, insultant, dégradant pour le public, ce film donne des images pitoyables de la femme, de l'homme et même des chiens.
Pire que mauvais, ce film est dangereux par les messages qu'il véhicule, abrutissant par la débilité de l'écriture et de la mise en scène, et complètement à côté de la plaque sur son sujet principal, l'amour. Ce film n'est pas une comédie romantique. Ce n'est pas une comédie. Ce n'est pas romantique. C'est juste une erreur.
Et dire qu'ils en ont fait un deuxième.


Si vous êtes allés au bout de cette critique, félicitations (et merci). Mais par pitié, ne regardez jamais cet étron qui ne mérite pas d'exister.


Finalement, le titre de ma critique ne devrait pas être "J'ai un pénis sortez-moi de là", mais plutôt "J'ai un cerveau sortez-moi de là".

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le 1 mai 2015

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