Des choix discutables
Un documentaire plutôt qu'un film, sur l'enfer vécu par le plus grand champion de bodybuilding. Le prix à payer pour être au sommet est terrible. Un choix de vie étonnant, selon le point de vue d'où...
le 19 oct. 2021
1 j'aime
Nous rencontrons des problèmes techniques sur la partie musique du site. Nous faisons de notre possible pour corriger le souci au plus vite.
Un documentaire plutôt qu'un film, sur l'enfer vécu par le plus grand champion de bodybuilding. Le prix à payer pour être au sommet est terrible. Un choix de vie étonnant, selon le point de vue d'où l'on se place.
Créée
le 19 oct. 2021
Critique lue 155 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Ronnie Coleman: The King
Un documentaire plutôt qu'un film, sur l'enfer vécu par le plus grand champion de bodybuilding. Le prix à payer pour être au sommet est terrible. Un choix de vie étonnant, selon le point de vue d'où...
le 19 oct. 2021
1 j'aime
Documentaire intéressant sur Ronnie Coleman, plusieurs fois Mister Olympia (entre autre). Ce type est tellement humble et a toujours le sourire malgré ce qui lui arrive... Tellement triste mais pas...
Par
le 19 nov. 2018
1 j'aime
Végétation de fin de soirée, fallait bien lancer un truc.Toujours intéressant de constater le parcours de gens qui ont transpirés toutes leurs vies, quitte a s'auto dégommer "sainement", ma foi.Après...
Par
le 2 juin 2022
Du même critique
2h30 d'un plagiat honteux des 3 premiers opus. Un pillage en règle sans aucune idée nouvelle, d'interminables dialogues insipides au possible pour tenter de justifier un scénario foutoir archi-creux...
le 27 déc. 2021
2 j'aime
Soupe absurde où se mélange AI dernier cri et machines à laver qui se jalousent entre elles. Du grand n'importe quoi qui plagie sans vergogne et sans talent : Ghost in the shell, Westworld,...
le 17 sept. 2021
2 j'aime
Une idée géniale, passée au crible de la science et par le tamis d'une vulgarisation plaisante. Un défi intellectuel qui oblige les anthropologues et ethnologues à tout repenser, de la matière à...
le 18 déc. 2020
2 j'aime