De très belles scènes dans ce film. Ce fils de charpentier qui s'est perdu est élevé par une vieille femme. Elle s'attache peu à peu à lui et finit par le regretter quand il retrouve son père. La séance photo montre comment la photographie matérialise cet amour maternel.
Créée
le 29 déc. 2017
Critique lue 187 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Récit d'un propriétaire
En 1947, quand il entreprend Récit d'un propriétaire, Ozu n'avait pas tourné depuis cinq ans de long-métrage. Il était un père, qu'on a pu découvrir l'été 2005 en France, souffrait d'un didactisme...
Par
le 2 févr. 2011
9 j'aime
Une veuve acariâtre recueille malgré elle un jeune vagabond abandonné par son père. Au début elle le rejette avant de s'attacher peu à peu à lui. Non pas par la mise en scène mais par le sujet, il y...
Par
le 19 sept. 2012
6 j'aime
Ce qui est formidable lorsqu'on explore la filmographie de Yasujirô Ozu, c'est de constater à quel point son cinéma est riche, découvrant sans cesse de nouvelles perles cachées dans l'ombre de ces...
Par
le 12 nov. 2021
5 j'aime
Du même critique
La meilleure émission est sans conteste le clash entre Conversano et Soral. Tout de même, ce fils de pute de Conversano s'est pris une bonne branlée. Quand tu diffames, tu cries sans aucune raison, à...
Par
le 2 août 2017
6 j'aime
Je renvoie la mémorable vidéo du Raptor dissident sur son cas clinique. D'où? D'où? Faut vraiment être un attardé pour visionner sa gueule de cafard et écouter son rire de hatay plus de trente...
Par
le 14 août 2017
5 j'aime
Le film semble n'avoir aucun rapport avec le conflit israélo-palestinien. Pourtant, trois éléments corroborent le contraire: -Au début du film, quand Ace Rothstein — je ne savais pas que les noms...
Par
le 26 oct. 2016
5 j'aime
1
