Priest of Evil par Cenwyn
Outre le fait que ce Priest of Evil soit un film policier avant tout, il y a de la musique trop dark, un emo trop dark (ho oui), plein de gens trop dark, et de la pilosité faciale sous toutes ses formes les plus fascinantes. Y'a même des kékés de Finlande (un peu darkinous aussi). Et des blanches colombes sacrifiées à Sataaaan.
Tout ceci semble très stéréotypé, mais en fait, non, c'est tout à fait regardable, pas daubesque pour un sou (n'en déplaise au titre appelant au nanar/navet). Ce n'est pas inoubliable pour autant mais on passe un bon moment.