Point of terror (1971)
Vouloir devenir célèbre, cela créer parfois un inconfort.
Être utilisé si c'est pour arriver à ses fins, cela vaut il tant d'efforts.
Ce genre de situations peut malheureusement entraîner tant de morts.
Quels sont les risques à vouloir devenir célèbre, vous le serez dans Point of terror.
Bonjour à tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous à Point of terror de Alex Nicol à qui nous devons également Le crâne hurlant. Tony Trelos rêve d'être une star mais il va vite apprendre à ses dépens que rien n'ai jamais acquis et que la route est jonché de pièges. Bon, ce film ne mérite vraiment pas d'être considéré comme un film d'horreur, le tueur de l'affiche est visible moins d'une minute pour un meurtre sans originalité et l'idée des visions de Tony est utilisée au début du film pour ne jamais être vraiment rexploitée par la suite, l'histoire est assez basique mélangeant chantage, meurtre et arrangement d'ordre sexuel, le final du film as au moins le mérite de jouer entre retour de karma et bizarrie mais le film semble ne jamais savoir sur quel pied danser, tantôt thriller, horreur, drame, romance, le mélange n'est pas des mieux maîtrisé alors qu'en revanche le film tente de nous proposer des plans de caméras intéressants ainsi que beaucoup de musiques dont une chanson qui reste en tête, les décors sont plutôt basiques mais agréables tant de nuit que de jours, en revanche les effets spéciaux sont pauvres si on excepte le corps sans vis sur la plage, les scènes d'actions sont plutôt plaisantes à regarder même si drôle par moment. Au niveaux des acteurs pas de très mauvaise notes, Peter Carpenter s'en sort plutôt bien en chanteur en recherche du succès, Dyanne Thorne nous montre son talent avant de jouer Ilsa la louve SS, j ai eu plus de mal avec Lory Hansen que j'ai trouvé lisse. Bref, un film que je ne vous conseille pas et encore moins si vous chercher de l'horreur, allez tchuss crevez tous mouhaha 😈😈😈.
Tony Trelos, un chanteur de boîte de nuit fait des cauchemars d’adultère et de meurtres, seulement pour se réveiller et constater qu’il ne s’agit peut-être pas de cauchemars…