Comme tous les films à sketchs, Païsa souffre d’une impression de déséquilibre entre des segments très forts (Florence, le Pô) et d’autres plus faibles (Rome). Ce n’est pas le choc de Rome, ville ouverte. Malgré tout, on a l’impression de découvrir de petits fragments de vie à la Libération de l’Italie.
La rencontre entre le soldat afro-américain et le gamin est touchante et traitée avec simplicité. Quant à la séquence des moines, elle semble hors du temps et annonce les Onze fioretti.
Créée
le 26 juil. 2023
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