Neon Maniacs est réalisé par le cinéaste Joseph Mangine (Smoke and Flesh) avec la belle Leilani Sarelle (Basic Instinct, The Crash) dans son premier film, une histoire abracadabrantesque de Mark Patrick Carducci sur des personnages sanguinaires, moitié Cénobites, moitié Village People. Les maniacs sortent du pont Golden Gate la nuit et court après les ados de la ville et les tuent ! Si vous voulez un slasher nanardesque de 90 minutes qui ne prend pas 10 minutes avant de voir le prochain meurtre, Neon Maniacs est pour vous ! Nathalie assiste au massacre de camarades par une troupe de créatures monstrueuses, mais la police refuse de la croire...
Au casting horrifique & Rock'n Roll, il y a également Alan Hayes, Donna Locke, Victor Brandt, David Muir, Marta Kober et Andrew Divoff (48 heures de plus, Wishmaster) pour la première fois à l'écran dans le rôle du Neon Maniacs Doc.
Qu'est-ce que vous faites avec ses fringues ?
Dans le Campus de l'Université, Nathalie et ses amis étudiants passent un agréable moment, entre conversations et flirts. Trop occupé, ils ne voient pas que des créatures infernales aux visages déformés, ressemblant à des Samouraïs et à des Nazis, envahissent le Campus. Les démons passent à l'attaque et seule Nathalie échappe à la mort en se réfugiant au fond d'un vieux camping-car, aidée par l'orage qui semble effrayer ses agresseurs. Devant l'incapacité de la Police de San Francisco, Nathalie fait appel à deux de ses amis pour mener l'enquête. Ils tendent alors un piège à ces créatures immondes et cruelles à l'aspect humain... Mais, arriveront-ils à détruire les Neon Maniacs ?
Y a personne !
Ils sont chez eux, ils regardent Dynastie !
Neon Maniacs ne s'embarrasse pas de logique, l'origine des tueurs n'est jamais expliquée, seul compte les différents looks des 12 Maniacs, tous bien différents (Ape, Archer, Axe, Décapitor, Doc, Hangman, Juice, Mohawk, Punk Biker, Samurai, Slasher, Soldier) et le montre Scavengers. Ce n'est pas un chef-d'œuvre de l'horreur des eighties mais c'est un pur délice pour les amateurs de nanars, les scènes d'horreur étaient bien plus efficaces à l'époque de sa sortie.
De l'eau !