Narration assez classique si ce n'est une scène ou deux plus poétiques visuellement. Portrait d'une société conservatrice et puritaine entravant la libération sexuelle, s'exposant soit aux inhibitions (le peintre) ou aux pulsions libidinales violentes (le trio de garçons). Le corps de Noriko, de la femme en général, est politique comme toujours chez Wakamatsu. Ce cancer que la peau exprime comme un parchemin vivant, désigne probablement au second degré ce lien toxique aliénant la jeunesse aux valeurs traditionnelles du passé.