Nous proposant d’imaginer une pluralité de dimensions temporelles - comme il en existe déjà pour l’espace -, Mr. Nobody nous rappelle à tous la cosmogonie des choix. Renoncer à toutes les autres vies possibles pour ne choisir que celle-ci.
La théorie de l’effet papillon, abordée ici sous l’angle d’une recherche perpétuelle de l’omniscience, permet de dresser l’horizon d’un avenir sans hasard.
La candeur du regard bleu océan de Jared Leto replonge le spectateur dans les imprédictibles conséquences de ses dilemnes.
Créée
le 20 avr. 2020
Critique lue 98 fois
D'autres avis sur Mr. Nobody
A noter que j'ai vraisemblablement vu une version longue (environ 2h40), probablement celle originellement désirée par le réalisateur, forcé de couper son film pour le sortir. Le résultat est mitigé...
Par
le 26 juil. 2010
79 j'aime
19
Je suis sûr que j'aurais adoré ce film il y a 15 ans, le genre de mind fuck SF fashion avec pleins de théories scientifiques universelles comme on les aime qui se mixent en un résultat esthétisant et...
Par
le 20 août 2013
72 j'aime
6
Bon, mon avis ne peut être que très contradictoire. Je n'ai aucune idée de la note a mettre a ce film. Il a été une torture émotionnelle pendant deux heures et la fin a été un véritable...
Par
le 31 juil. 2010
69 j'aime
10
Du même critique
La linéarité de l'intrigue et la complicité bienfaisante entre les deux personnages installent le spectateur dans un environnement paterne et propice à la guérison des traumatismes infantiles...
Par
le 21 avr. 2020
Se revendiquant officiellement de l'univers de 1984 de George Orwell, Brazil s'en détache rapidement par la représentation d'un futur absurde aussi burlesque qu'asphyxiant. Le temps ayant hélas fait...
Par
le 18 avr. 2020
Nous proposant d’imaginer une pluralité de dimensions temporelles - comme il en existe déjà pour l’espace -, Mr. Nobody nous rappelle à tous la cosmogonie des choix. Renoncer à toutes les autres vies...
Par
le 20 avr. 2020
