Ah!
L’école à la maison, c'est pas toujours facile.
Découvert lors de sa sortie en 2014, The Babadook (pourtant couronné de succès) n’avait fait qu’un bref passage dans mon cœur de cinéphile. Pire, j’en avais très peu de souvenir, jusqu’à ne plus trop savoir si j’avais oui ou non apprécié ce film. Du coup, période de confinement oblige, je me lance dans le cauchemar infantile de The Babadook.
Le film est par ailleurs disponible sur la première plateforme de VOD française réservée au cinéma de genre, Shadowz.
Et si vous ne s’avez pas quoi faire pour vous occuper l’esprit durant cette longue période de confinement. Je ne peux vous que conseiller d’aller découvrir son catalogue, entre petites pépites, raretés, classiques et ovnis cinématographiques, il y a de quoi faire.
Je vous glisse le lien juste là : https://www.shadowz.fr/
Alors The Babadook, de quoi il s’agit ?
Probablement de ton état mental à la fin du confinement quand tu auras fait l’école à la maison durant une période qui t’aura semblé une éternité.
Non, plus sérieusement, The Babadook est un long métrage de Jennifer Kent adapté de son court intitulé, The Monster.
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