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Quand un bébé nait avec une intelligence exceptionnelle dans une famille de bas du front, le décalage ne peut être qu'énorme. Matilda conte la vie de cette petite fille qui ne rêve que d'une chose, apprendre. Elle ne veut pas rester comme les autres membres de la famille assis devant la télé à regarder de parfaites débilités, elle préfère nettement se plonger dans les livres. De vito sait rythmé son film dans un premier temps, toute la découverte de cette famille est fort drôle, mais une fois Matilda à l’école, la famille passe au second plan, et c'est une nouvelle histoire qui semble commencer. De nouveaux personnages apparaissent, cette partie est un peu moins bien rythmée que la première, il faut dire aussi qu'un certain temps est nécessaire pour repartir sur de nouveaux rails. Ces personnages apportent de nouvelles situations, il ne manque pas d'enjeu dans ce que découvre Matilda, mais un petit ventre mou est bien présent pendant plusieurs instants. Le rythme du film y perd grandement, De vito après ce passage reprend les rênes de son film, on retrouve l'humour, il instaure aussi des moments de suspense réussi. Placer cette femme au physique de championne de lancer de poids Est allemande et la nommé Legourdin est une chose que les enfants ne comprendront pas. C'est peut-être de l'esprit mal tourné, il n’empêche que Legourdin ne sert pas qu'à frapper.