La villa du malheur
Dans la cour intérieure d'une somptueuse villa en construction à Mexico City, des ouvriers s'échinent sous un soleil de plomb. Soudain, un corps tombe lourdement du rooftop et s'écrase au sol. En moins d'une minute, le drame prend place, ôte la vie du frère de Francisco (Luis Alberti), le protagoniste principal, et gagne lentement du terrain....
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Rien à voir avec Parasite
Attention, cet avis comporte ce genre de spoilers:
c'est quoi ce pays où on fait raboter des jacuzzis sur des murets où les finitions de peinture sont déjà faites?!
Tout le monde se pend à Mexico.
Vendu comme une histoire de vengeance d'un "serviteur" contre le "maître", le film se révèle plus subtil et ambitieux que prévu. Sur le...
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Critique de Mano de obra par Stéphane Blin
Rude et violente injustice sociale des sociétés fracturées ; on plonge avec eux, le film nous y amène subtilement mais surement au point qu'on puisse en ressentir des sentiments ou des émotions similaires à ceux que pourraient produire un pur thriller psychologique : angoisse et oppression.
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La loi des plus pauvres
L'homme n'a jamais été autant un loup pour l'homme qu'aujourd'hui, à partir du moment où l'argent est plus que jamais le nerf de toutes les guerres sociales. Mano de obra est un exemple cinématographique de plus de la lutte des classes, cette fois-ci au Mexique, mais il témoigne aussi de la lutte à l'intérieur des classes, quand les plus pauvres, au-delà d'une solidarité éphémère, n'hésitent...
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