Après deux films consacrés aux mésaventures de Kevin McCallister, place à Alex Pruitt ! Plus question d’avion ici mais d’un microprocesseur volé par des terroristes qui se retrouve dissimulé dans un jouet, un scénario qui ne trouvera du crédit que chez les enfants de moins de 5 ans. C’est aussi l’âge limite pour apprécier Maman, je m’occupe des méchants puisque le reste de la comédie nous ressert la formule des pièges concoctés par le jeune héros. Les “casseurs flotteurs” n’étaient déjà pas très dégourdis, c’est désormais un quatuor de bras cassés qui leur succèdent. Le film aura au moins permis à Raja Gosnell de signer son premier long-métrage et pour Scarlett Johansson d’étoffer son CV de l’époque !