La politique n'a pas de raison d'exister là où l'on parle d'être où ne pas être, tel est la question.
La mort étant la facette d'une même et seule pièce, ce film n'a rien de déprimant. Il est rude et marqué au fer de la souffrance humaine, par contre le film apporte une image toute en nuance du quotidien de personel hospitalier qu'a cette femme.
Bien sûr, n'importe quelle gauchiste, comme moi ; se sent légitime à demander une critique du système hospitalier plus frontale et plus assumer, plutôt que de rester dans le portrait tout du long. Sauf que le portrait, c'est déjà quelque chose, si l'on veut un film politiquement engagé, on l'a devant nous. Le film à travers son personnage raconte tout cela, si vous êtes en recherche d'un discours au mot près que vous connaissez déjà, et bien désolé de vous l'apprendre cependant, il ne paraîtra pas. Pas dans cette forme.
La critique sociale se fait d'elle-même, tout en subtilité. Bien sûr, on ne sort pas les violons toutes les dix minutes, et pourtant, ça n'empêche pas l'obtention d'un vertige clair et palpable. Excepté pour les plus blasés d'entre nous.
Alors peut-être que l'on peut en vouloir au fait que cette femme soit âgée, et qu'elle n'est pas débutante, donc qu'elle sait de quoi elle parle et de comment elle en parle. Elle n'a peut-être pas envie de faire de son quotidien une complainte destinée au romantisme des partis.
Même si la vie est terrible, elle reste la vie. Cela reste la narration d'un épisode dans la vie d'une femme.
Tout cela pour dire que le film vaut le détour, sans mentir. Que c'est du bon cinéma, un cinéma qui montre.
La politique n'a pas de raison d'exister là où l'on parle d'être où ne pas être, tel est la question.
La mort étant la facette d'une même et seule pièce, ce film n'a rien de déprimant. Il est rude et marqué au fer de la souffrance humaine, par contre le film apporte une image toute en nuance du quotidien de cette femme.
Bien sûr, n'importe quelle gauchiste, comme moi ; se sent légitime à demander une critique du système hospitalier plus frontale et plus assumer, plutôt que de rester dans le portrait tout du long. Sauf que le portrait, c'est déjà quelque chose, si l'on veut un film politiquement engagé, on l'a devant nous. Le film à travers son personnage raconte tout cela, si vous êtes en recherche d'un discours au mot près que vous connaissez déjà, et bien désolé de vous l'apprendre cependant, il ne paraîtra pas.
La critique sociale se fait d'elle-même, tout en subtilité. Bien sûr, on ne sort pas les violons toutes les dix minutes, et pourtant, ça n'empêche pas l'obtention d'un vertige clair et palpable. Excepté pour les plus blasés d'entre nous.
Alors peut-être que l'on peut en vouloir au fait que cette femme est âgée, et qu'elle n'est pas débutante, donc elle sait de quoi elle parle et de comment elle en parle. Elle n'a peut-être pas envie de faire de son quotidien une complainte destinée au romantisme des partis.
Même si la vie est terrible, elle reste la vie. Cela reste la narration d'un épisode dans la vie d'une femme.
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