Outre les relations obsessionnelle pousser à l’extrême cette richesse dans cette romance,les rôles qui s'inverse ect...
Je ne vais pas aborder ce sujet qui à était aborder bien comme il faut dans certaines critiques.
En revanche ce qui à retenu mon attention c'est cette aspect du huit-clos.
Déjà le bateaux est un bon point de départ,les couloirs sont exigu,les personnages ne sorte que rarement,l'histoire
nous l'est raconter par un homme dans une cabine.Son histoire commence en extérieur mais très vite cela se passe dans un petit appartement qui sera l'objet d'un amour fou,compulsif,obsédant.
Jamais ils ne sorte,ils s’asphyxie à l'image de leur amour charnel,dominant,mais précoce.
Et puis viens l'heure de la rupture se passant en extérieur assis sur un banc apportant avec elle la jouissance de la libération.
Mais tout revient très vite,de retour dans cette appartement ou les rôle s'inverse.

Leur amour étouffe et nous étouffe de par ces lieux récurrent et étroit.
Et même l'air marin qu'ont nous apporte quelques fois ne peux y changer grand chose.
Ashitaka-Joe
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le 4 févr. 2014

Modifiée

le 4 févr. 2014

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Ashitaka-Joe

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