Mais qu'est-ce que Madeleine Robinson vient faire dans cette galère ?
Mais quel est l'olibrius qui a fait le scénario "Lumière d'été" ? Jacques Prévert. Ah, bon ! Eh bien je ne le félicite pas sur ce coup-là…
Il me semble n'avoir compris qu'une chose de ce film de Jean Grémillon tourné en 1943. C'est qu'il oppose le monde du travail, un monde sain au monde de l'oisiveté, que ce soit celui du chatelain ou celui de l'artiste, autrement dit un monde malsain.
C'est...
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Trahi
Sans Prévert, il y avait sans doute un grand film. D’autant que, lumière il y a vraiment par moments. Le chantier, l’hôtel isolé, le visage de Madeleine Robinson.. mais tout ça est réduit à l’anecdote théâtrale par l'arrivée d'un Pierre Brasseur cabotin, scandant du Prévert, poète poétisant. Dommage.
On dirait que Grémillon se moque de lui-même et de ses ambitions, sentimentales et...
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Critique de Lumière d'été par Maqroll
Des histoires d’amour qui se croisent et interfèrent les unes sur les autres, un peu à la manière de la tragédie grecque : A aime B, qui aime C, qui aime D… jusqu’à ce que la boucle finisse par se boucler, faisant le tri entre les morts et les vivants. Entre Remorques et Le ciel est à vous, Grémillon, dans sa période faste, continue à tourner de belles histoires avec des accents de...
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Chassé-croisé amoureux sous le ciel de Provence et différences de classes...
Chassé-croisé amoureux en Provence, l'été... Cinq personnages: Michèle, la touriste (Madeleine Robinson), Patrice, le châtelain (Paul Bernard), Christiane, dite Cri-Cri, la propriétaire de l'hôtel (Madeleine Renaud), Roland, l'artiste (Pierre Brasseur) et Julien, l'ingénieur du barrage (Georges Marchal-ici débutant)...Trois unité de lieux: l'hôtel, le château et le chantier du barrage...Deux...
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Les chemins sinueux de l'amour
De lumière d’été il ne sera question qu’après que les personnages de ce mélodrame tortueux situé en montagne, feront tomber les masques lors d’un bal masqué où le style si distant et discret de Grémillon volera en éclats dans un déchaînement de ritournelles et de tournoiements où la caméra se mettra à virevolter comme dans un film de Max Ophüls.
A défaut de ville côtière ou de grands...
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