Love, Rosie par Edwyn

Cela faisait un bail que j'attendais de voir ce film. Pas pour le livre en soit, plus pour Sam Claflin et parce que j'ai une vieille âme romantique. (J'ai tout de même lu le livre avant).

Pas mal de choses diffèrent, mais objectivement, il aurait été dur de tout caser en moins de 2 heures, et le fait que le livre soit basé sur des échanges de messages, complique la tâche de transposer l'histoire à l'écran.
Il y a donc du légèrement décevant, car en supprimant des événements influençant grandement la vie des personnages, ces derniers perdent une partie de leur essence à l'écran. (On ne parle pas du déménagement familiale à Boston qui a pourtant de nombreuses conséquences, Rosie n'a pas repris ses études, Greg n'est pas le même et j'en passe...).
Néanmoins, il reste suffisamment de positif : des ajouts de scènes sont assez comiques, l'ambiance globale n'est pas mal, tout comme le casting - mention spéciale à la copine (Jamie Winston) assez présente et utile à l'écran (mais j'ai du mal à croire qu'une fille sans qualifications puisse vendre - même 5 minutes - dans une pharmacie...), et j'ai trouvé le petit rôle du père plus touchant que dans le livre.
La scène finale a une mise en scène insipide (mais au passage l'hôtel est super mignon).
Ce n'est pas le film de l'année, mais si vous avez un coeur de guimauve et 1h45 à passer...
(Quelque part il y a un parallèle à faire avec Un Jour/ One Day, mais j'ai la flemme...)

Mon moment préféré reste "... Wanker..."