C'est relou à un point, ça ne devrait même pas être toléré de nos jours.
Sérieux, on aurait jamais du passer le cap des films parlants si c'est pour avoir à subir ce genre de trucs. 2 000 mots à la seconde qu'on a même pas le temps d'assimiler, et que de toute façon, au bout de 3 minutes de film on a même plus envie d'écouter tellement c'est inintelligible, inintéressant et en plus on connait déjà l'histoire. Alors tout ce qu'il nous reste à faire c'est essayer de trouver le sommeil et regarder sa montre toutes les deux minutes. Qu'on ne vienne plus me dire que Spielberg c'est le cinéma de l'émotion, c'est le cinéma de la démagogie raconté d'une façon tellement basique et prévisible que chaque événement qui passe sous nos yeux est aussi émouvant qu'une boîte de haricots dans une liste de courses.
Vas donner des cours d'histoire dans des collèges de zep, Steven, mais steuplé, arrête de nous gonfler.