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Eloge du toc
L'usage d'un mythe urbain riche de potentialités se transforme entre les mains de Neil burger en un divertissement tape-à-l'œil, facile et creux. Ecrivain sans le sou, tirant sa flemme de gamineries...
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le 29 mars 2011
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Limitless par Yannick Huyet
voir la couleur du monde, devenir un dieu du monde de la finance, ceci rien qu'avec une pilule miracle. Limitless parle de l'accomplissement personnel d'un écrivain raté et sans imagination, et qui après avoir eu accès au succés, voit son "elixir" convoité par tous les requins (mafia, dirigeant de grosse boite).
L'ambiance lumineuse, la musique, les images accélérées et enivrantes arrive très bien à nous faire ressentir les effets de cette pilule miracle, ainsi que la mise en âbime lors du coup de baton.
Bémols importants : la fin est complétement précipité, et on aurait apprécié plus d'imagination, plus de créativité quand bradley cooper accède au 80% de son cerveau ... il apprend à lire pleins de langues, arrive à anticiper et prévoir les marchés boursiers soit, mais à la base c'est un écrivain de science fiction qui cherche à dénoncer des dérives, quid de tout cela, d'univers qui aurait pu être enfanté
L'ambiance lumineuse, la musique, les images accélérées et enivrantes arrive très bien à nous faire ressentir les effets de cette pilule miracle, ainsi que la mise en âbime lors du coup de baton.
Bémols importants : la fin est complétement précipité, et on aurait apprécié plus d'imagination, plus de créativité quand bradley cooper accède au 80% de son cerveau ... il apprend à lire pleins de langues, arrive à anticiper et prévoir les marchés boursiers soit, mais à la base c'est un écrivain de science fiction qui cherche à dénoncer des dérives, quid de tout cela, d'univers qui aurait pu être enfanté
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le 28 mai 2013
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