
J'avais détesté le premier volet alors que j'aurais pu faire l'impasse sur le second volet de Les Vieux Fourneaux. Porté une nouvelle fois par la maison de retraite du cinéma français entre Pierre Richard, Eddy Mitchel entre autres, ce second volet est aussi peu drôle que le premier. Pire, cette fois-ci, on joue sur la campagne qui accueille des jeunes migrants - et évidemment, le cinéma français sait faire pour rendre les films encore plus malaisants qu'ils ne sont.
C'est moraliste en mode "white savior" pour faire accepter les migrants contre vents et marrés... Une comédie à contre-sens.