«On a toujours à défendre les forts contre les faibles.» disait Nietzsche. Chez Fassbinder, en tous cas, il y a des forts (Maria Braun au hasard) mais il y a surtout des faibles. La faiblesse humaine est LE motif qui traverse toute l'oeuvre prolifique du grand cinéaste allemand. Que ce soit dans Je veux seulement que vous m'aimiez, dans Tous les autres s'appellent Ali, dans le Droit du plus fort... Lire la critique de Les Larmes amères de Petra von Kant