Baston à la chaîne.

Après 15 ans passés en prison Teng Piao par sur les traces de celui qui l'a fait accuser, il se nomme le léopard noir. Pour ne pas oublier son calvaire; il porte les chaines qui l'ont entravé pendant ces longues années. C'est une histoire de vengeance qui n'a rien de passionnant c'est rapidement ennuyeux tout ça et ça ne décolle jamais de cet ennui. Il y a pourtant des combats mais ils ne sont pas très vifs, enfin ce n'est pas super rapide, on voit un peu trop que tout le monde attend le prochain coup. Lors d'un combat les fenêtres sont brisées car l'adversaire s'en va pile au moment où le coup de bâton est porté, enfin on voit bien que le porteur du bâton attend que l'acteur soit parti et qu'il vise la vitre et non celui qu'il combat. Le temps n'est pas passé très rapidement là devant c'est même tout le contraire, le film m'a parut d'une longueur interminable. Il est aussi regrettable que tout est été fait en intérieur, enfin on est dans les années 80 c'est un autre esthétisme et une autre façon de faire de la Shaw.