Critiques de Les Chiens errants

mymp
1

On purge bébé

Il y a une première fois à tout, dit-on. Le premier baiser, le premier râteau, la première désillusion ou le premier amour… De ma vie toute entière de cinéphile aguerri, j’ai, sans relâche, mis un...

Par

le 14 mars 2014

21 j'aime

29

pierreAfeu
10

Sidérant de beauté

Le dernier film de Tsai Ming-liang est inqualifiable. Les chiens errants est un film terrible et beau, noir portrait du monde des hommes, œuvre d'art profonde et mystérieuse qui vit et résonne en...

le 23 nov. 2013

15 j'aime

6

cinematraque
9

Film enragé, radical et pourtant absolument geek !

Le cinéma de Tsai Ming-liang n’est pas forcément le plus joyeux au monde, mais il franchit ici, avec une certaine insolence, les murs du pessimisme. Dans un geste qui semble emprunté a l’ultime...

le 13 mars 2014

13 j'aime

JimAriz
6

Errance maîtrisée

L’œuvre de Tsai Ming-Liang est caractérisée par des films lents aux longues scènes, souvent tournées en plans-séquences et aux dialogues réduits au minimum. Au fil de ses films le réalisateur...

le 15 mars 2014

7 j'aime

1

JulianDesjardin
9

Fond du collier.

Les Chiens Errants, c'est une fenêtre étouffante et dentée sur le quotidien de vivants-morts. Des fantômes écorchés, muets et errant dans des draps sales. Ils se cachent derrière des pancartes et...

le 13 mars 2014

7 j'aime

Aurélie_Perrier
6

Entre beauté et ennui extrême

Comment noter ce film ? Un vrai dilemme... La photographie est très belle et certaines scènes très touchantes et émouvantes. Le film est hypnotisant et est propre à la méditation ; ce qui est, sans...

le 22 mars 2014

5 j'aime

2

Paul-SAHAKIAN
9

À LA RECHERCHE D'EMOTIONS PERDUES

La première chose qui nous interpelle au visionnage d’un film de Tsai Ming-Liang, c’est sa radicalité. De longs plans fixes, hypnotiques, fascinant par leur simplicité ou leur complexité, dépendant...

le 5 nov. 2022

2 j'aime

abarguillet
9

Critique de par abarguillet

Un père Hsiao-kang et ses deux enfants vivent en marge de Taipei, entre les bois et les rivières de la banlieue et les rues pluvieuses de la capitale. Le jour, le père gagne chichement sa vie en...

le 11 mars 2014

2 j'aime

Procol-Harum
7

La dignité aux abois

Dès la première séquence, le ton est donné : filmée en plan fixe pendant cinq minutes muettes, avec pour seul fond sonore des ronflements constants, une femme se peigne doucement les cheveux, tandis...

le 5 avr. 2022

1 j'aime

philippequevillart
7

Voyage au bout du bout de la nuit

C’est dans le formalisme pur et dur que l’auteur donne sa substance à une œuvre désenchantée qui ne se contente pas de déambuler malgré sa longueur et ses artifices anti-spectaculaires. Chronique...

le 3 janv. 2020

1 j'aime