Le Gros Lot
7.1
Le Gros Lot

Film de Preston Sturges (1940)

Bonne petite comédie américaine, ce qu'il y a de plus classique j'ai envie de dire : quiproquos, amours, relation patrons-employés.
Les acteurs de seconde zone ne gâchent pas l'ensemble, ce qui n'est déjà pas si mal.

Et comme tout Preston Sturges qui se respecte, le film dure moins d'1h10. Hop emballer c'est peser !
Pruneau
7
Écrit par

Créée

le 25 mars 2011

Critique lue 346 fois

6 j'aime

4 commentaires

Pruneau

Écrit par

Critique lue 346 fois

6
4

D'autres avis sur Le Gros Lot

Le Gros Lot
SimplySmackkk
8

Jeu-concours : lisez cette critique du film et gagnez l'envie de le voir

J'avais dit beaucoup de bien de Preston Sturges pour son premier film, Gouverneur malgré lui. Voici donc son deuxième film, adapté de sa pièce de théâtre, parce que Môssieur Sturges écrivait aussi du...

le 26 avr. 2019

8 j'aime

Le Gros Lot
raisin_ver
7

Critique de Le Gros Lot par raisin_ver

Comédie sympathique comme tout, avec un sujet merveilleux. Un couple plein d'espoir mais sans le sou gagne un concours. Quelques petits quiproquos, un patron peu amène, un faux air de Capra lors de...

le 23 juin 2011

8 j'aime

9

Le Gros Lot
Bestiol
7

Critique de Le Gros Lot par Bestiol

Encore un film sur le rêve américain très «y'a une justice dans ce monde». Mais sans pathos, sans emphase. Le couplet sur la générosité humaine tire-larme par exemple, est limité à un plan (la pitite...

le 22 nov. 2010

8 j'aime

Du même critique

Django Unchained
Pruneau
5

Amour chaînes

En se concentrant purement sur une exégèse westernienne du film, on va dire qu'il y a trois inspirations différentes. La première se place dans la tradition assez classique du western. On est au...

le 22 janv. 2013

70 j'aime

8

Winchester 73
Pruneau
9

C'est bath Mann

Un Anthony Mann avec James Stewart, rien de plus classique. Sauf que le personnage principal est une winchester 73. Carabine à 15 coups, surnommée "the gun that won the west », elle attire à elle...

le 26 janv. 2011

51 j'aime

15

L'Intruse
Pruneau
8

Les moissons du fiel

City Girl démontre par le sublime que les bouseux sont des dégénérés. Alors oui, c'est pas un scoop, mais c'est toujours bien de rappeler quelques vérités dans ce bas monde. Lecture toute subjective...

le 11 déc. 2010

48 j'aime

20