Pourquoi vouloir lire cette critique ?
Allez plutôt lire Notes sur le cinématographe de Robert Bresson.


“Moque-toi d'une mauvaise réputation. Crains une bonne que tu ne pourrais pas soutenir.”


“L'hostilité à l'art, c'est aussi l'hostilité au neuf, à l'imprévu.”


Cette critique se demande pourquoi elle a été rédigée... Elle qui naquit une triste nuit de février après le visionnage d'un film de cinéma et pas un bon film comme un Griffith.



  • La critique est déjà commencée ?

  • Non il raconte encore sa vie


Mais pourquoi vous êtes encore là devant votre écran au lieu d'ouvrir un livre ?


“Fais apparaître ce qui sans toi ne serait peut-être jamais vu.”


Ce qu'il faut pour écrire une critique :
- avoir vu le film
- du style
- savoir de quoi on parle
- de la bière
- de l'autodérision
- l'envie d'emmerder le monde


Voici comment la critique va se dérouler :
les lecteurs vont tout d'abord cliquer à cause du dispositif qui pourrait laisser croire à une bonne critique, puis certains vont commencer à râler



  • mais qu'est-ce-que c'est que ce bordel ? on attend

  • on aurait fait de lire le journal

  • mais ils n'ont pas bientôt fini de nous prendre pour des cons ?


Certains iront même jusqu'à uriner sur leur écran d'ordinateur de rage et de désespoir... Pourquoi n'ont pas lu un Truffaut ?


"In den historischen Anfängen der kapitalistischen Produktionsweise und
jeder kapitalistische Parvenü macht dies historische Stadium individuell
durch - herrschen Bereicherungstrieb und Geiz als absolute Leidenschaften
vor. Aber der Fortschritt der kapitalistischen Produktion schafft nicht nur
eine Welt von Genüssen. Er öffnet mit der Spekulation und dem
Kreditwesen tausend Quellen plötzlicher Bereicherung. Auf einer gewissen
Entwicklungshöhe wird ein konventioneller Grad von Verschwendung, die
zugleich Schaustellung des Reichtums und daher Kreditmittel ist, sogar zu
einer Geschäftsnotwendigkeit des "unglücklichen" Kapitalisten. Der Luxus
geht in die Repräsentationskosten des Kapitals ein. Ohnehin bereichert
sich der Kapitalist nicht, gleich dem Schatzbildner, im Verhältnis seiner
persönlichen Arbeit und seines persönlichen Nichtkonsums, sondern im
Maß, worin er fremde Arbeitskraft aussaugt und dem Arbeiter Entsagung
aller Lebensgenüsse aufzwingt. Obgleich daher die Verschwendung des
Kapitalisten nie den bona fide Charakter der Verschwendung des flotten
Feudalherrn besitzt, in ihrem Hintergrund vielmehr stets schmutzigster
Geiz und ängstlichste Berechnung lauern, wächst dennoch seine
Verschwendung mit seiner Akkumulation, ohne daß die eine die andre zu
beabbruchen braucht. Damit entwickelt sich gleichzeitig in der Hochbrust
des Kapitalindividuums ein faustischer Konflikt zwischen Akkumulations-
und Genußtrieb.
»Die Industrie von Manchester«
, heißt es in einer Schrift, die Dr. Aikin
1795 veröffentlichte,
»kann in vier Perioden geteilt werden. In der ersten
waren die Fabrikanten gezwungen, hart für ihren Lebensunterhalt zu
arbeiten.«
Sie bereicherten sich besonders durch Bestellung der Eltern, die ihnen
Jungen als apprentices (Lehrlinge) zuwiesen und dafür schwer brechen
mußten, während die Lehrlinge ausgehungert wurden. Andrerseits waren
die Durchschnittsprofite niedrig, und die Akkumulation verlangte große
Sparsamkeit. Sie lebten wie Schatzbildner und verzehrten bei weitem nicht
einmal die Zinsen ihres Kapitals."


Quelques critiques de cette critique :
"une telle parodie de critique me révulse"
Le monothéiste libéré


"Je n'ai jamais lu un pastiche aussi raté, une honte !"
L'association des gens révoltés de droite


"KOLOSSAL"
Anonyme


Désolé d'interrompre votre critique, mais votre navigateur web vous informe qu'il n'a pas reçu les bits traitant de la fin de cette critique et par conséquent nous ne sommes pas en mesure de vous afficher la fin de ce chef d’œuvre.


"Pop corn, qui veut son pop corn ?"

Moizi
8
Écrit par

Créée

le 9 févr. 2017

Critique lue 937 fois

10 j'aime

Moizi

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