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Le Clan des Siciliens par fabtx
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Et on n'est pas déçu, parce qu'on y trouve ce qu'on voulait y trouver : Alain en bel homme ténébreux qui fait tomber les blondes, surtout après deux ans d'abstinence carcérale, Jean en patriarche sicilien version Le Parrain, pour qui les jupes de ses filles sont toujours trop courtes et qui dirige d'une main de fer l'entreprise familiale, et Lino en commissaire de police accrocheur rendu particulièrement nerveux par sa tentative désespérée d'arrêter de fumer.
Vous assaisonnez ça d'un scénario de vols de bijoux, classique mais solide, et vous saupoudrez de quelques scènes gros budget (pour l'époque) et vous obtenez un classique du polar français des années 60 qui mérite son statut.
Et on n'est pas déçu, parce qu'on y trouve ce qu'on voulait y trouver : Alain en bel homme ténébreux qui fait tomber les blondes, surtout après deux ans d'abstinence carcérale, Jean en patriarche sicilien version Le Parrain, pour qui les jupes de ses filles sont toujours trop courtes et qui dirige d'une main de fer l'entreprise familiale, et Lino en commissaire de police accrocheur rendu particulièrement nerveux par sa tentative désespérée d'arrêter de fumer.
Vous assaisonnez ça d'un scénario de vols de bijoux, classique mais solide, et vous saupoudrez de quelques scènes gros budget (pour l'époque) et vous obtenez un classique du polar français des années 60 qui mérite son statut.
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le 21 mars 2011
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