Terriblement pessimiste et fataliste, LE CERCLE ROUGE est un chef d’œuvre qui traverse les années sans prendre une ride, sublimé par une réalisation sublime, un rythme unique et un casting quatre étoiles. Le sumum du polar et du cinéma français en général, qui comprend la plus grande séquence de braquage de l'Histoire du Cinéma.

Créée

le 29 avr. 2013

Critique lue 457 fois

MaximeMichaut

Écrit par

Critique lue 457 fois

D'autres avis sur Le Cercle rouge

Le Cercle rouge
SanFelice
10

Quand la ville dort

Chaque fois que je regarde ce chef d'œuvre, je suis épaté par son incroyable maîtrise. Tout y est réussi. C'est vraiment le sommet de l'œuvre de Melville (cinéaste peut-être inégal, parfois ennuyeux,...

le 23 mai 2012

76 j'aime

9

Le Cercle rouge
Nushku
9

Cercle rouge & Plymouth Fury bleue

Visuellement, le film est beau et froid. Les tons sont bleutés, la lumière est blafarde, nue, métallique et les blancs brûlés. Malgré le titre, aucune tâche chaude ni lumière dorée ne viendra...

le 13 déc. 2010

49 j'aime

4

Le Cercle rouge
Vincent-Ruozzi
9

Tu braques et tu raques

S’il y a bien une qualité chez Jean-Pierre Melville, c’est cette incroyable capacité à raconter une histoire. Malgré une filmographie relativement courte, le réalisateur parisien a su devenir un...

le 3 sept. 2016

41 j'aime

8

Du même critique

Un homme idéal
MaximeMichaut
5

"Le sable était noir..."

À l'image de son titre fraudeur, Un Homme Idéal patine prévisiblement sur ses ambitions de thriller référentiel, mésaventure romantique d'un plagiaire glissant sur la pente rocambolesque du crime...

le 25 mars 2015

23 j'aime

The Homesman
MaximeMichaut
8

Critique de The Homesman par MaximeMichaut

THE HOMESMAN est un sublime western empli de folie douce, où Tommy Lee Jones encre son talent de metteur en scène en brouillant avec talent les limites entre réalisme et fantastique, âpreté et...

le 19 mai 2014

15 j'aime

Baby Driver
MaximeMichaut
8

Des promesses à tenir et des miles à parcourir avant de revivre

Fraîchement rejeté du projet Ant-Man par l'écurie Marvel, Edgar Wright s'est lové dans l'un de ses amours majeurs de cinéma, The Driver de Walter Hill, pour enfin donner naissance à un projet vieux...

le 22 juin 2017

13 j'aime